Nombre total de pages vues

I SUGGEST ⚆ ⚆ ⚇ ...


アーカイブ ⚆ Archives

Affichage des articles dont le libellé est Fantasy. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Fantasy. Afficher tous les articles

mercredi 30 mars 2011

351 ◆ SUCKER PUNCH de Zack SNYDER ★★☆☆☆




Résumé : Bienvenue dans l'imaginaire débordant d'une jeune fille dont les rêves sont les seules échappatoires à sa vie cauchemardesque. S'affranchissant des contraintes du temps et de l'espace, elle est libre d'aller là où l'entraîne son imagination, jusqu'à brouiller la frontière entre réalité et fantasme. Enfermée contre son gré, Babydoll a toujours envie de se battre pour reconquérir sa liberté. Combative, elle pousse quatre autres jeunes filles – la timorée Sweet Pea, Rocket la grande gueule, Blondie la futée et la loyale Amber – à s'unir pour échapper à leurs redoutables ravisseurs, Blue et Madame Gorski – avant que le mystérieux High Roller ne vienne s'emparer de Babydoll. Avec Babydoll à leur tête, les filles partent en guerre contre des créatures fantastiques, des samouraïs et des serpents, grâce à un arsenal virtuel et à l'aide d'un Sage. Mais ce n'est qu'à ce prix qu'elles pourront – peut-être – recouvrer la liberté.




Mon Avis : J'aurais pas du me laisser séduire par les magnifiques trailers de ses sublimes images de SUCKER PUNCH. C'est clair que rien que par l'affiche déjà tu sais que tu auras à faire à un film de toute beauté. Mais pourtant Je ne sais pas pourquoi je reste sur ma faim avec quelques incompréhensions scénaristiques qui m'ont troublées. Certes les effets spéciaux étaient plus qu’énorme en mode 300, super beau même avec parmi les 5 séquences imaginaires celle des 3 Golem Samouraï aux graphiques énormes et la chrorégraphie d'action dans le train avec les robots. Les filles sont magnifiques et les costumes/déco rien à dire. Malgré celà j'ai assisté à une expérience plus proche de MATRIX qu'à un voyage initiatique sur une fille (BABYDOLL) qui cherche désespérément à s'échapper de sa prison via son imaginaire, afin de fuir une lobotomie prévue dans le "réel". Maintenant dans mes forums de ciné ils parlent tous que toutes ses filles forment une seule personne et qu'elles sont tous issus de l'imaginaire de la plus mature d'entre elles (SWEET PEA). A débattre! Sinon çà reste un film sympathique à voir rien que pour les séquences d'actions et les magnifiques  pin up!


mercredi 1 décembre 2010

330 ◆ SCOTT PILGRIM Vs THE WORLD de Edgar WRIGHT ★★★★★


Scott Pilgrim : affiche


Résumé : Scott Pilgrim n’a jamais eu de problème à trouver une petite amie, mais s’en débarrasser s’avère plus compliqué. Entre celle qui lui a brisé le cœur – et qui est de retour en ville – et l’adolescente qui lui sert de distraction au moment où Ramona entre dans sa vie - en rollers - l’amour n’a jamais été chose facile. Il va cependant vite réaliser que le nouvel objet de son affection traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. À mesure que Scott se rapproche de Ramona, il est confronté à une palette grandissante d’individus patibulaires qui peuplent le passé de sa dulcinée : du mesquin skateur à la rock star végétarienne en passant par une affreuse paire de jumeaux. Et s’il espère séduire l’amour de sa vie, il doit triompher de chacun d’eux avant que la partie soit bel et bien « over ».




Mon Avis : C'est ENOORME!! CULTE!! Edward Wright a réalisé un film aux effets spéciaux et séquences de combat unique jusqu'à présent! Une réalisation qui sera forcément recopié par d'autres pour des films de Super Héros (?) Mais quand je vois Scott Pilgrim Vs The World, je me demande une chose, c'est pourquoi on lui a refusé la réalisation de Dragon Ball le film? 


C'est les effets du manga de notre jeunesse ce film. Il est adressé à cette génération nourrit de Comic Book, Manga et surtout Jeux video aux graphismes proche des vieux Mario d'arcade ...


Scott Pilgrim : photo Edgar Wright, Michael Cera

Scott Pilgrim Vs The World est une adaptation dont l'idée était de réalisé en live du quasiment plan par plan de la Bande dessinée. Un challenge relevé haut la main par Edgar Wright bien aidé par un  casting de stars et de guest. Le rythme débute doucement comme un film indépendant, avec des plans fixe sur les dialogues, des silences mais bien rythmé par du bon rock ...

Scott Pilgrim : photo Edgar Wright, Mary Elizabeth Winstead, Michael Cera


et puis commence à surgir des tips de jeux vidéos façon RetroGame comme des jauges de vie en haut de l'écran, des 1up pour une vie perdu contre des adversaires puissants (qui sont en faite les Ex de sa nouvelle petite copine) comme Scott qui n'en savait rien. Mais un manque d'assurance qui se transformera en détermination pour conquérir l'élue de son coeur...

Scott Pilgrim : photo Edgar Wright, Michael Cera


En faite c'est comme si ces jeunes vivaient tous dans un monde avec des pouvoirs, donc c'est normal pour lui de se battre lorsqu'il est en danger. Les combats c'est comme si tu voyais un live de STREET FIGHTER! 


On est surpris avec le premier bad guy, qui est indien dit au passage avec un combat à la bollywood lol, mais dès qu'on avance dans le film on se laisse prendre au gros délire de voir débarquer des super Ex copains au nombre de 7 qui casse tout! 

Scott Pilgrim : photo Edgar Wright, Jason Schwartzman

Et voir Michael Cera (SuperGrave, Juno) avec sa déguaine habituelle face à plein de stars venus jouer les guest stars çà l'fait grave jusqu'au final. 


Un pure film à voir absolument... bercé par une bande son rock très efficace!




mercredi 28 juillet 2010

315 ◆ THE LAST AIRBANDER de Manoj N. SHYAMALAN ☆



Mon Avis : Le retour du réalisateur surcôté de 6EMESENS ici avec une adaptation d'un animé pour enfant AVATAR THE LAST AIRBANDER sans queue ni tête avec des effets spéciaux qui datent de Matuzalem. Le point fort aurait du être de somptueuse chorégraphie mais ici "wallou" combat trop statique et histoire à dormir debout. Au suivant Shyamalan, continu à faire rire, c'est çà à trop vouloir être présomptueux, on finit par faire n'importe quoi!

mercredi 4 février 2009

238 - THE CURIOUS CASE OF BENJAMIN BUTTON de David FINCHER ★★★★★




Résumé : À sa naissance, en 1918, Benjamin Button a l'apparence et les caractéristiques d'un vieillard. Abandonné par son père sur le seuil d'une maison pour personnes âgées de la Nouvelle-Orléans, il est recueilli et élevé par Queenie, qui tient l'établissement où, en grandissant, le vieillard-enfant se confond avec la clientèle.  Pour un temps du moins, car Benjamin, à l'inverse du reste du monde, rajeunit de jour en jour. À vingt ans, l'air de soixante, il prend la mer, sur un chalutier, et connaît par la suite diverses aventures, dont une, passionnée mais de courte durée, avec l'épouse d'un diplomate. Mais outre Queenie, une seule femme occupe ses pensées : Daisy, ballerine dont il est tombé amoureux autrefois, et avec qui il va vivre un grand amour lorsque leurs âges… se croiseront.




Mon Avis : Benjamin Button a sur le papier tout pour plaire : deux acteurs stars, un réalisateur hors norme, un scénario atypique, un homme qui rajeunit pendant 2h45 et la magie opère! Quel formidable idée de nous proposer le destin de cet homme, qui né différent, vie en dehors de notre mode de vie. La mise en scène est absolument parfait de Fincher avec une interprétation oscarisable de Brad Pitt. Travellings posés, la structure et la beauté des plans m'ont souvent laissé pantois, une sorte de beauté glaciale qui s'oppose et se marie parfaitement à l'histoire, notamment avec la sublime Cate Blanchett et la partition tout en tendresse de Taraji. P Henson. Bref, j'ai été conquis par ce film, Fincher change de registre a merveille, et m'a éblouis une fois de plus par sa technique irréprochable. Un beau film à voir et qui réussi à ne pas décevoir, c'est certes lent mais bien au contraire le temps passe très vite! Un vrai bijou dont les monstrueux effets spéciaux employés pour vieillir Brad Pitt hantent encore ma mémoire.



REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)