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lundi 31 octobre 2011

♡ SIR SAMUEL - URBAN CLASSIC (Dir. WHITECHAPEL)

mercredi 26 octobre 2011

401 ◆ THE ADVENTURES OF TINTIN : THE SECRET OF THE UNICORN de Steven SPIELBERG ★★☆☆☆





Résumé : Parce qu’il achète la maquette d’un bateau appelé la Licorne, Tintin, un jeune reporter, se retrouve entraîné dans une fantastique aventure à la recherche d’un fabuleux secret. En enquêtant sur une énigme vieille de plusieurs siècles, il contrarie les plans d’Ivan Ivanovitch Sakharine, un homme diabolique convaincu que Tintin a volé un trésor en rapport avec un pirate nommé Rackham le Rouge. Avec l’aide de Milou, son fidèle petit chien blanc, du capitaine Haddock, un vieux loup de mer au mauvais caractère, et de deux policiers maladroits, Dupond et Dupont, Tintin va parcourir la moitié de la planète, et essayer de se montrer plus malin et plus rapide que ses ennemis, tous lancés dans cette course au trésor à la recherche d’une épave engloutie qui semble receler la clé d’une immense fortune… et une redoutable malédiction. De la haute mer aux sables des déserts d’Afrique, Tintin et ses amis vont affronter mille obstacles, risquer leur vie, et prouver que quand on est prêt à prendre tous les risques, rien ne peut vous arrêter…





Mon Avis : Sortie de l'avant première belge des aventures de Tintin... en Francais (oui j'ai fait entorse à la Vostfr car Tintin çà ne peut qu'être vu qu'en Francais! Avec un doublage que j'ai trouvé même très bon pour une fois). Ce que je peux dire sur ce tapage médiatique ici, vu que toute la ville de Bruxelles était en effervescence et habillé au couleur de Tintin (Spielberg et son équipe faisait leur avant premiere mondial en Belgique) Bah! La réalisation dé-chi-ré, rien à dire avec Spielberg au manette pour diriger des acteurs en motion capture, c'était une première bien qu'on sent la patte de Peter Jackson derrière! C'était rythmé, il y avait un bon dosage d'actions çà sentait la touche à la Indiana Jones par moment. Mais moi j'étais déjà déconnecté dès le début du film, par une simple raison bien qu'il y avait du potentiel avec à la base de ces 3 Bd : "Le secret de la Licorne" et "le Crabe aux Pince d'or" et "Rackham le rouge"...c'est que les scénaristes aient choisi un méchant qui n'avait rien à voir avec l'histoire originelle du "Secret de la Licorne" pour interprété le méchant, au lieu des frêres Loiseau les méchants originaux (y a pas de spoiler y a juste à voir la bande annonce pour s'en rendre compte lol) et çà n'a pas de sens dans la construction narratique de l'histoire encore une fois! "Le Trésors de Rakham le rouge" et "le crabe aux pinces d'or" ont été à peine survoler en somme. Bon comme première introduction çà reste une bonne introduction de l'univers de Tintin et je vais pas m'en plaindre mais voilà je suis resté sur ma faim et j'ai hâte de découvrir la version de Peter jackson qui lui était un grande fan depuis son enfance. Bon allez c'est le blockbuster de l'année donc faut le voir. P.S : La 3D c'est chiant!!




jeudi 20 octobre 2011

399 ◆ BATMAN ARKHAM CITY ☻☻☻☻☺




Mon Avis : Perso je préfère le 1er pour sa durée plus courte (parce que j'ai une vie sociale). En effet, les developpeurs se sont fait plaisir en proposant pleins de mission pour poursuivre l'aventure dans toute la ville après que Batman aie délivré la ville du fameux protocole 10 de Hugo Strange. Justement en ce qui concerne les vilains ont a pas droit à des "donjons" quand on affronte les boss du moins il y en pas autant que le premier, on se contente de suivre l'histoire. Graphiquement on reste dans le ton du premier Batman Arkham Asylum c'est à dire sombre mais le plus c'est indéniablement Catwoman (sacré gameplay tout de même). Les voix en VF sont celles des Cartoons de mon enfance et ça c'est hyper important pour le fan que je suis. La prise en main est a peu près la même que dans le 1er sauf qu'il va falloir revoir le système des choix des accessoires qui 0devient parfois franchement énervant (vous savez celui qui est en diagonale sur la croix directionnelle de l'écran, et qui dévie souvent vers le gauche ou le bas à chaque fois que tu veux prendre celui entre les deux) et la manette à eu peur de finir plusieurs fois dans le mur. Le scénario est béton, plein de quêtes viennent s'y ajouter, bref on peu jouer un bon moment sans s'ennuyer et sauter de toit en toit joyeusement! Une bonne continuité face à la saga de Christopher Nolan au cinéma.



mercredi 12 octobre 2011

396 ◆ THE THING 2011 de Matthijs VAN HEIJNINGEN ☆




Résumé : Une paléontologue part en Antarctique rejoindre une équipe de scientifiques norvégiens qui a localisé un vaisseau extraterrestre emprisonné dans la glace. Elle y découvre un organisme qui semble s'être éteint au moment du crash, de multiples années auparavant. Mais lors de l'extraction la créature se libère accidentellement de sa prison glacée. Capable de reproduire à la perfection tout organisme vivant, elle s'abat sur les membres de l'expédition, les décimant un à un. Aux confins d’un continent aussi fascinant qu’hostile, le prédateur protéiforme venu d’un autre monde tente de survivre et de prospérer aux dépens d’humains terrorisés qu’il infecte et pousse à s’entre-tuer. The Thing sert de prélude au film culte de 1982, réalisé par John Carpenter, dont il reprend le titre. 




Mon Avis : C'est dans l'attente de revivre l'angoisse d'un de mes films culte le THE THING de John Carpenter que je m'impatientais de voir cette nouvelle version 2.0. Bien que j'avais pris soins de ne pas voir la bande annonce, j'ai constaté la supercherie d'avoir vendu un remake pour le faire passer pour un prequel. Pas mal le plan marketing! Le principal gros défaut de THE THING 2.0 c'est le faite d'avoir négliger l'importance des moments de paranoïa entre les personnages. On en montrait trop de cette créature au lieu d'instaurer une atmosphère oppressante comme dans le cultissime premier opus. Tout était trop prévisible et pis Mary Elisabeth Winstead a part roulé des yeux d'effroi je me demande ce qu'elle faisait en tête d'affiche du film, surtout en tant que scientifique vu que dentiste çà aurait été beaucoup mieux pour elle lol. Voilà çà manquait un peu de folie dû a des second rôles pas charismatique du tout et  dont on se doute bien qu'ils serviront qu'à s'faire manger. Les CGI des créatures franchement très laid vu ce que j'ai pu voir ailleurs jusqu'à présent. Parcontre les producteurs ont loupé quelque chose en ne confiant pas le rôle titre à Joel Edgerton, il avait trop des airs à la Kurt Russel surtout lorqu'il devait se trainer comme un boulet l'autre. Voilà après FRIGHT NIGHT 2.0 le massacre continu avec ce énième remake. Le film je l'ai tellement trouvé mauvais que même le raccord avec le générique du début de la version de 1982 sonnait faux.


395 ◆ THE ARTIST de Michel HAZANAVICIUS ★★★★★




Résumé : Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l'oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Ce film raconte l'histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être autant d'obstacles à leur histoire d'amour.




Mon Avis : Chef d'oeuvre incontestable! j'ai vu un film carrément authentique : THE ARTIST. Un cinéma d'un autre temps, moi... çà me parle! Surtout que j'adorais les oeuvres muet et noir et blanc de l'époque Laurel et Hardy, Buster Keaton, Chaplin... les films fantastique de la Hammer Bela Lugosi, Murnau, Lang... et c'est un exploit qu'à fait Michel Azanavicius de nous refaire partager cette magie dans une époque baignée par la facilité des adaptations, remake, reboot sans originalité scénaristique. THE ARTIST c'est un film truffé de plans simples et ingénieux avec des tas de gag typiquement de cette époque emmené par MOonsieur Jean Dujardin et la pétillante Bérénice Bejo qui sont l'atout français de cette collaboration américaine. THE ARTIST est une comédie dans toute sa grandeur, en format d'image 3/4, gros plan de l'époque pour exploiter au maximum les divers expressions du visage, danse de cabaret. THE ARTIST c'est aussi un œuvre qui nous rappelle que ce cinéma aussi a été frappé par la première grande crise financière dans les années 30, portrait sombre d'une époque dure pour la population mais aussi pour les artistes qui passent du jour au lendemain de la gloire à la chute... . THE ARTIST c'est pour finir emballé dans un histoire romantique entre un couple d'individu qui se croisent chaqu'un selon le succès de l'autre et qui rappelle les valeurs perdus de nos jours, celui de l'entre-aide. Une œuvre magnifique en somme à voir absolument ou à redécouvrir. Je félicite le coup de génie de Harvey Weinstein qui a fait en sorte de présenter un film français pour les prochains Oscars. A mon avis çà va faire grand bruit et si çà passe, Jean Dujardin aura son Oscar pour sa performance j'en fais même le pari!



mercredi 5 octobre 2011

393 ◆ DRIVE de Nicolas WINDING REFN ★★★★★




Résumé : Un jeune homme solitaire "The Driver", conduit le jour à Hollywood pour le cinéma en tant que cascadeur et la nuit pour des truands. Ultra professionnel et peu bavard, il a son propre code de conduite. Jamais il n’a pris part aux crimes de ses employeurs autrement qu’en conduisant - et au volant, il est le meilleur! Shannon le manager qui lui décroche tous ses contrats, propose à Bernie Rose, un malfrat notoire, d’investir dans un véhicule pour que son poulain puisse affronter les circuits de stock-car professionnels. Celui-ci accepte mais impose son associé, Nino, dans le projet. C’est alors que la route du pilote croise celle d’Irêne et de son jeune fils. Pour la première fois de sa vie, il n’est plus seul. Lorsque le mari d’Irêne sort de prison et se retrouve enrôlé de force dans un braquage pour s’acquitter d’une dette, il décide pourtant de lui venir en aide. L’expédition tourne mal, doublé par ses commanditaires et obsédé par les risques qui pèsent sur Irène, il n’a dès lors pas d’autre alternative que de les traquer un à un. 








Mon Avis : Ryan Gosling interprète le personnage de l'homme sans nom, sans peur et sans reproche à la manière d'un Takeshi Kitano, c'est à dire le type calme et silencieux qui explose de fureur et de violence quand on s'attaque à ses proches.


Un déchaînement de violence qui interviendra évidemment, tout en nous laissant craquer sur cette love story des temps moderne entre Ryan Gosling et une révélation en ce qui me concerne avec l'hypnotique Carey Mulligan.


Le spectateur est en apesanteur, j'étais sur mon petit nuage! Cette magie dans DRIVE opère aussi pour une autre raison, il n'y a pas eu d'erreur de casting. Chacun des acteurs principaux interprètent un personnage qui le ressemblent avec une mention spéciale pour Bernie Rose joué par Albert Brooks, un caïd impitoyable comme dans les vieux films mafieux à l'ancienne.


La mise en scène est contemplative et c'est la particularité du film, vu que Nicolas Winding Refn n'a pas eu peur des silences et des champs contre champs statiques qui auraient pu plomber le rythme de son film, bien au contraire, c'est ces regards, ces mouvements, cette façon de poser la caméra pour faire le plan juste que j'ai trouvé extraordinaire (une Palme d'or 2011 plus que mérité donc) surtout qu'on peut pas dire que çà parlait beaucoup dedans.


Voilà si on ajoute, une ambiance crépusculaire qui donne une tension permanente, lente, violente, sèche et qui monte crescendo


jusqu'à ce final explosif (bien aidé par cette superbe bande sonore à la Giorgio Moroder arrangée par Cliff Martinez) on retrouvera alors cette atmosphère propre aux polars des années 80.


DRIVE c'est sans nul doute le film de l'année 2011. D'ailleurs j'en avais fait une de mes priorités "à voir absolument" et je ne l'ai pas regretté. En tout cas j'ai fini par faire comme tout le monde après la projection, en me procurant la B.O dont j'ai mis à ta disposition le générique du film sur le post, et je te fais partager en même temps mes trois plus belles affiches du film qui ont inspirés des artworkers très doués. Ce film est culte après tout!





En Conclusion : DRIVE c'est un coup de maître qui confirme le talent de Nicolas Winding Refn après la trilogie Pusher et Valhalla Rising. Ok Drive c'est la Palme d'or 2011 de la mise en scène mais franchement çà aurait mériter bien mieux quand on s'est tapé le Tree Of Life de Malik (Tu me diras The Artist, Take Shelter c'était aussi de sacré candidat) mais à suivre, car il pourrait y avoir de belles surprises lors des futurs Oscar 2012. Soit, DRIVE c'est le film d'une génération et je renouvelle mon coup d'coeur pour ce petit bijou tout en apesanteur! C'était un moment unique!



REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)