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mercredi 1 août 2012

462 ◆ BRAVE de Mark ANDREWS & Brenda CHAPMAN ★☆☆☆☆




Résumé : Depuis la nuit des temps, au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands d’Ecosse, récits de batailles épiques et légendes mythiques se transmettent de génération en génération. Merida, l’impétueuse fille du roi Fergus et de la reine Elinor, a un problème… Elle est la seule fille au monde à ne pas vouloir devenir princesse ! Maniant l’arc comme personne, Merida refuse de se plier aux règles de la cour et défie une tradition millénaire sacrée aux yeux de tous et particulièrement de sa mère. Dans sa quête de liberté, Merida va involontairement voir se réaliser un vœu bien malheureux et précipiter le royaume dans le chaos. Sa détermination va lui être cruciale pour déjouer cette terrible malédiction.




Mon Avis : Cà, un PIXAR?!! Après de bonnes scènes de présentation de chacun des protagonistes avec un roi (dont la bonomie a gentiment été pomper dans le DRAGONS de chez Dreamworks)... tout à coup! On nous met, comme problématique principale, une intrigue censée nous tenir en haleine avec cette histoire d'ours qui suit gentiment la trame pompé dans le FRERES D'OURS de chez Disney. Non content de cette trouvaille prodigieuse et ô combien hautement subtile, les décomplexés qui ont pondu cette merveilleuse histoire décident de greffer une 2e histoire d'ours - autant se faire plaisir, hein?! Ce qu'on retient par la suite? Qu'on nous a oublié de nous raconter l'histoire de la princesse! Des péripéties pitoyables, des facilités scénaristiques à 2 balles (ah ils ont le bon rôle les feux-follets avec leurs interventions récurrentes quand on doit accélérer le rythme d'une histoire déjà vaseuse ou se sortir d'une impasse). Je n'ai pas bien saisi le but de tout ce remue-ménage? A quoi ça sert? Pour délivrer quel message? Avec quelle intention? Techniquement, c'est sympa, mais dans le fond? De Pixar, il ne reste que le graphisme dans cette pauvre tentative. Pour celles et ceux qui ne connaissent rien à cette boîte d'animation, pourquoi pas ? Mais ça n'enlève rien à la mièvrerie du sujet.. A déconseiller aux fans de la première heure de l'ex-studio phare de John Lassiter.  


samedi 27 janvier 2007

108 ◆ LES MYSTERIEUSES CITES D'OR





L'HISTOIRE

En 1532, à Barcelone, Esteban, un orphelin d'une douzaine d'années qui semble être capable d'appeler le Soleil, accepte l'offre d'un mystérieux marin, Mendoza, de partir vers le Nouveau Monde afin de découvrir les légendaires Cités d'or. Il accepte, caressant l'espoir d'y retrouver son père, disparu lors d'un naufrage douze ans auparavant. Au cours de ce voyage, le jeune garçon se lie d'amitié avec Zia une jeune Inca, et Tao, dernier descendant du peuple de Mu, habitant les îles Galápagos. Esteban et Zia découvrent qu'ils possèdent chacun un pendentif, les médaillons du soleil, censés être les clés de ces Mystérieuses Cités d'Or qu'ils chercheront tous.







Au cours de ce voyage, le jeune garçon se lie d'amitié avec Zia une jeune Inca, et Tao, dernier descendant du peuple de Mu, habitant les îles Galápagos. Esteban et Zia découvrent qu'ils possèdent chacun un pendentif, les médaillons du soleil, censés être les clés de ces Mystérieuses Cités d'orqu'ils chercheront tout au long de l'histoire. On leur apprend aussi une quête commune, celle de retrouver leur père respectif dont les destins sont liés aux Cités d'or. 






Ils découvriront Solaris, la puissante nef solaire légendaire de l'Empire de Mu puis le Grand Condor, un gigantesque oiseau volant en or massif qui leur permettra de parcourir l'Amérique du sud et centrale. Malheureusement, ils seront poursuivis par l'Armada espagnole (et notamment le gouverneur Pizzaro, le commandant Gomez ainsi que le capitaine Gaspard), les Urubus, puis Marinché, Tétéola et le docteur Fernando Laguerra et, pour finir, les Olmèques.





LES PERSONNAGES

Esteban : Mendoza le sauve du naufrage du navire de son père alors qu'il est tout jeune enfant. Orphelin ramené à Barcelone, il est recueilli par le père Rodriguez. Mendoza le convainc d'embarquer sur l'Esperanza, le navire de l'Armada espagnole. Pour tous, il est le "fils du Soleil", capable d'"invoquer" l'astre solaire. Il porte une partie d'un médaillon du Soleil, la partie amovible ayant été conservée par Mendoza après qu'il lui eût sauvé la vie.

Zia : Jeune Inca ramenée en Espagne par le gouverneur Pizzaro, elle embarque également sur l'Esperanza car elle seule est en mesure de déchiffrer le quipu d'or détenu par Pizzarro. Elle porte également un médaillon du Soleil.





Tao : Dernier descendant de la civilisation de Mu, Tao vit aux Galapagos lorsqu'il croise le chemin d'Esteban, Zia et de Mendoza. Accompagné de son perroquet, Pichu, il ne se sépare ni de son manuscrit légué par ses ancêtres, ni de son baluchon. Particulièrement débrouillard et inventif, il trouve les astuces et solutions qui permettent à l'équipée de se sortir de bien mauvais pas.

Mendoza : Marin, pilote et navigateur émérite, fin bretteur, Mendoza est un équipier charismatique mais les actions qu'il entreprend sont gouvernées par la recherche des Cités d'Or et des trésors qu'elles renferment. Au-delà de ses qualités et de ses défauts, Mendoza sera un allié précieux d'Esteban dans leurs aventures.




COMMENTAIRE

C'était tout simplement ma série favorite! Celle que je ne loupais jamais. Je me rappelle avec quelle assiduité, j'écoutais le petit documentaire de fin qui venait ponctuer chacun des épisodes. Il parlait du peuple Maya et Inca. Des richesses et découvertes de ce fabuleux continent. Je voulais rendre hommage à cette série sur mon blog. En espérant que pour ceux et celles qui ne connaissaient pas, un 'tit dL pourrait être disponible un jour (qui sait?). Et saches, que la série n'a pas pris une seule ride!





REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)