Résumé : Depuis la nuit des temps, au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands d’Ecosse, récits de batailles épiques et légendes mythiques se transmettent de génération en génération. Merida, l’impétueuse fille du roi Fergus et de la reine Elinor, a un problème… Elle est la seule fille au monde à ne pas vouloir devenir princesse ! Maniant l’arc comme personne, Merida refuse de se plier aux règles de la cour et défie une tradition millénaire sacrée aux yeux de tous et particulièrement de sa mère. Dans sa quête de liberté, Merida va involontairement voir se réaliser un vœu bien malheureux et précipiter le royaume dans le chaos. Sa détermination va lui être cruciale pour déjouer cette terrible malédiction.
Mon Avis : Cà, un PIXAR?!! Après de bonnes scènes de présentation de chacun des protagonistes avec un roi (dont la bonomie a gentiment été pomper dans le DRAGONS de chez Dreamworks)... tout à coup! On nous met, comme problématique principale, une intrigue censée nous tenir en haleine avec cette histoire d'ours qui suit gentiment la trame pompé dans le FRERES D'OURS de chez Disney. Non content de cette trouvaille prodigieuse et ô combien hautement subtile, les décomplexés qui ont pondu cette merveilleuse histoire décident de greffer une 2e histoire d'ours - autant se faire plaisir, hein?! Ce qu'on retient par la suite? Qu'on nous a oublié de nous raconter l'histoire de la princesse! Des péripéties pitoyables, des facilités scénaristiques à 2 balles (ah ils ont le bon rôle les feux-follets avec leurs interventions récurrentes quand on doit accélérer le rythme d'une histoire déjà vaseuse ou se sortir d'une impasse). Je n'ai pas bien saisi le but de tout ce remue-ménage? A quoi ça sert? Pour délivrer quel message? Avec quelle intention? Techniquement, c'est sympa, mais dans le fond? De Pixar, il ne reste que le graphisme dans cette pauvre tentative. Pour celles et ceux qui ne connaissent rien à cette boîte d'animation, pourquoi pas ? Mais ça n'enlève rien à la mièvrerie du sujet.. A déconseiller aux fans de la première heure de l'ex-studio phare de John Lassiter.