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mercredi 3 juin 2009

257 ◆ TERMINATOR SALVATION de McG. ★★★☆☆




Résumé : En 2018, après l'apocalypse qui a vu s'affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators. Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l'apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s'être trouvé dans le quartier des condamnés à mort. Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s'il est un rescapé du passé. Alors que Skynet prépare l'assaut final, Connor et Marcus s'engagent dans une odyssée qui va les mener au cœur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l'annihilation programmée de l'humanité tout entière...




Mon Avis : Depuis le temps qu'on nous en parle, il fallait bien que l'on finisse par voir à quoi peut bien ressembler cette guerre entre les humains et les machines. C'est donc dans un contexte post-apocalyptique que commence ce dernier opus de la saga TERMINATOR, tandis que John Connor sait qu'il devra bientôt rencontrer son père et l'envoyer dans le passé... Mais dans ce film, malheureusement rien ne sera approfondi concernant les voyages dans le temps. En revanche, on a droit à une histoire franchement bizarre de robot humanoïde qui à la base était un véritable être humain et s'est retrouvé contre son gré dans le clan des machines en tant qu'espion... Au début, je pensais que c'était pour expliquer l'origine des terminators, comme s'il s'agissait d'un premier prototype conçu directement à partir d'un homme. Car après tout, les autres terminators que l'on voit ne sont pas (encore ?) recouverts de tissus vivants et s'apparentent à des squelettes métalliques, étant donné qu'ils sont conçus pour le combat et non pour l'infiltration... Mais finalement non, ce robot humanoïde n'a rien à voir avec un prototype de première génération, étant donné que l'on découvre, tard dans le film, un modèle de Schwarzy que les producteurs avaient gardé de côté afin de rappeler au spectateur qu'il s'agit bel et bien du quatrième volet de TERMINATOR. Pourtant, je ne peux m'empêcher de penser qu'il manque à ce film tout ce qui a fait jusqu'à présent le charme de la saga, notamment l'humour qui est terriblement absent... Peut-être que la fameuse guerre contre les machines était bien mieux dans un coin de notre tête, telle que chacun pouvait se l'imaginer, plutôt que servie sur un plateau d'argent dans cette suite qui est de trop. En soi, je comprends la volonté de vouloir faire quelque chose de différent, surtout que TERMINATOR 3 commençait déjà à sentir le réchauffé, et je trouve logique que ce dernier film décide de nous montrer le combat entre les hommes et les machines... Cependant, on pouvait s'attendre à quelque chose de plus réussi et surtout de plus lié aux précédents films. Lorsque je regarde une suite, j'aime bien y voir des liens directs avec les films qui ont précédé, une certaine cohérence homogène. Ici, on ne voit pas vraiment ce que l'on est venu voir, mais on voit plein d'autres trucs! Alors on peut dire que ce TERMINATOR 4 SALVATION est celui qui se détache le plus de la saga mais en nettement moins réussi. Dommage! 



REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)