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mercredi 15 août 2012

464 ◆ TOTAL RECALL 2012 de Len WISEMAN ★☆☆☆☆



Résumé : Modeste ouvrier, Douglas Quaid rêve de s’évader de sa vie frustrante. L’implantation de souvenirs que propose la société Rekall lui paraît l’échappatoire idéale. S’offrir des souvenirs d’agent secret serait parfait… Mais lorsque la procédure d’implantation tourne mal, Quaid se retrouve traqué par la police. Il ne peut plus faire confiance à personne, sauf peut-être à une inconnue qui travaille pour une mystérieuse résistance clandestine. Très vite, la frontière entre l’imagination et la réalité se brouille. Qui est réellement Quaid, et quel est son destin ?




Mon Avis : Len Wiseman nous avait habitué au pire en matière de gros blockbusters sans âme et bourrés d'explosions. Il était difficile de faire pire et pour ne pas changer, il renouvelle dans ce remake toutes les erreurs qui ont fait des ses précédents longs métrages des échecs critiques. Son TOTAL RECALL est donc fatiguant et sans âme, compliqué et énervant. A travers les décors futuristes du film on retrouve un peu de MINORITY REPORT, de BLADE RUNNER il n'arrive jamais à égaler l'original, au mieux à le copier. Malgré la performance convaincante de Colin Farrell, le film ne parvient jamais à nous embarquer et on reste sur la touche pendant plus de deux heures.


mercredi 30 mai 2012

449 ◆ PROMETHEUS de Ridley SCOTT ★★☆☆☆




Résumé : Une équipe d’explorateurs découvre un indice sur l’origine de l’humanité sur Terre. Cette découverte les entraîne dans un voyage fascinant jusqu’aux recoins les plus sombres de l’univers. Là-bas, un affrontement terrifiant qui décidera de l’avenir de l’humanité les attend.


Ted Weiland jr.

David 8

Elisabeth Shaw




Mon Avis : (Spoiler en mode freestyle) Bof! Tout çà pour çà. Des années d'attentes censées m'apporter mon lot de réponse clair. Qui est ce Space Jockey? D'où proviennent les FaceHugger et Xenomorphes? C'était oublié que le scénario était crédité de Damon Lindorf le philosophe avec toujours des histoires compliqués à comprendre alors qu'on peut faire simple (LOST la série, COWBOYS & ALIENS). Pourtant le show visuel était là. Des images MA-GNI-FIQUES à couper le souffle où Ridley Scott recréait un tout nouveau visuel SF digne des moyens technologiques que l'industrie du cinéma possède à ce jours et celà grâce à AVATAR qui a ouvert la voie à de nouvelles possibilités. Maintenant ce que je regrette c'est que tout ceci ne serve pas à un Spin-off de l'énorme Space Jockey fossilisé de ALIEN mais que l'histoire "vendue" dans PROMETHEUS à coup de promotion, d'interviews et de marketing par Ridley Scott pour attirer les fans de la saga, ne soit qu'un banal préquel calqué sur la trame de ALIEN en ce contentant de reprendre les moments forts qui avaient marchés dedans. Dans PROMETHEUS j'ai déjà trouvé la mise en scène tellement facile (à des milliers de km de la Terre il y a de l'oxygène!) qui plombent l'atmosphère angoissante, suffocante, la marque de fabrique de Ridley Scott en somme. Avec des personnages peu approfondis que les seuls qui sortent du lot ne sont que Noomi Rapace et Michael Fassbender. Charlize Théron n'étant ici que pour faire de la figuration, un peu comme les deux co-pilotes qui avaient pratiquement aucune ligne de dialogue, et je ne parle pas du très curieux Idriss Elba dont je me passerais de commenter sa séquence phare avec Charlize Théron. En ce qui concerne les aliens et bien je peux dire qu'ils furent bien decevant, avec des serpents face à deux scientifiques neuneu (comme deux ado' perdu dans les bois), un zombie qui se bat comme dans la PLANETE DES SINGES  hmm pour ne pas spoiler, la pâle copie de Mister Manhattan dans WACHMEN en guise d'humanoïde et de pieuvres juste parce que la forme est proche d'un Facehugger. 


Pas de trace d'un énorme Space Jockey

Cynique? Le verbe acerbe? Non, juste déçu de ne pas découvrir un chef d'oeuvre de la SF du même niveau, voir même plus, signé Ridley Scott. Je pourrais même penser qu'il ne sait plus raconter des histoires (c'était quand son dernier succès déjà!). Pourquoi parler des "ingénieurs"? (validé par Scott) Pourquoi autant de mystère les concernants (merci Lindorf!) Ils ne font pas de lien avec le Space Jockey dont la différence de taille avec les humains contredisent la thèse du Spin off. Je m'en fous des explications philosophiques à la mort moi l'noeuf qu'il peut y avoir sur cette nouvelle trilogie (faut les lires les adeptes de Freud qui tartinent les forums pour expliquer ce nanard dont j'éviterais de m'épancher ici). Rien que l'incohérence de voir un Xénomorphe, alors que le film n'est pas censé en parler étant donné que c'est pas censé être une suite de ALIEN (c'est pas moi qui l'a dit c'est Ridley!) sonnait le foutage de gueule pour la fan de la première heure de la saga ALIEN. Et pour conclure, ces enchainement abracadabrantesque lors des scènes finales d'Elisabeth Shaw, échappant à une mort stupide pour sauver l'autre héros  du film afin que tout se finisse par un happy end commercialement lucratif. Ppff! Je me demande si çà n'aurait été pas mieux que celà soit James Cameron qui relance la franchise. On aurait eu droit à un vrai survival horror, au lieu de voir maître Ridley Scott vouloir absolument nous faire rêver avec de sublimes images d'une planête extraterrestre (même si les séquences dans les cavités étaient répétitives) et faire un job de "Yesman" (= les producteurs demandent de faire çà, le réalisateur s'exécute sans broncher). Bref beaucoup de fond mais rien pour nous donner à manger pour la forme. La déception n'en est que plus grande!


mercredi 17 août 2011

383 ◆ CONAN THE BARBARIAN de Marcus NISPEL ★☆☆☆☆




Résumé : Pour Conan, le légendaire guerrier cimmérien, ce qui avait commencé comme une vengeance personnelle va se muer en combat épique pour sauver Hyboria d’une puissance maléfique surnaturelle. Face à ses ennemis, aux terrifiantes créatures et aux épreuves d’exception qui l’attendent, Conan va peu à peu comprendre qu’il est l’ultime espoir d’un peuple…




Mon Avis : Le reboot du film de John Milius CONAN THE BARBARIAN, qui voit Conan partir sur les traces de l'assassin de son père, le tyran Khalar Zym, dont l'objectif est de ramener sa femme du monde des morts pour en acquérir tout le pouvoir blah blah blah! Alors voici un remake franchement médiocre (encore un autre). La faute à qui ? Surement pas à l'esthétisme du film, qui vire entre le kitsch et le sérieux, avec ses décors réussis proposant quelques vues d'ensemble vraiment dignes des oeuvres de Frank Frazetta et ses costumes bien choisis. Ce qui est ceci dit le minimum syndical d'une telle production et d'un tel brouhaha précédant la sortie du film et constituant toute l'attente. Mais mise à part la beauté plasitique de l'oeuvre, il n'y a pas grand-chose à sauver. La mise en scène est dénuée de tout souffle épique, ne montre rien, ne propose aucune fresque grandiose que l'on était en droit d'attendre. L'émotion est au point zéro et l'alchimie entre les personnages ne fonctionne jamais. Vient alors l'interprétation, à l'image du film, très inégale : pour le duo des gentils, Jason Momoa ne convainc que rarement en monolithe hargneux, semblant pourtant parfois vraiment habité par le rôle et Rachel Nicols joue horriblement mal et ne présente aucune personnalité quand le méchant duo père et fille se montre plus impliqué, et hélas moins présent à l'écran, exactement comme les rares instants de grâce du film. C'est finalement eux qui apportent le peu d'intérêt à ce reboot. Idem pour Ron Pearlman, touchant mais cantonné au rôle du père assassiné. Mais enfin, ce qui plombe plus que tout le film, c'est le scénario. Empilant les scènes d'action à foison sans aucun raccord ni temps mort, le rythme s'en retrouve si affecté que l'on a parfois l'impression d'avoir devant soi le schéma type du nanar fauché de base (à 38 Million de dollar?). Si encore l'on avait des chorégraphies réussies, cela passerait mais non, l'ensemble des combats exalte la fadeur à plein nez. Bref, CONAN est un film surfait, un coup dans l'eau, victime de ses ambitions. Quant à l'inspiration, on ne doute pas qu'il y en avait derrière la caméra de Marcus Nispel, qui parlait avec passion de son film. Au passage à l'acte, plus rien ne se voit, et l'on a rarement vu film aussi pauvre en mise en scène que riche en matière. Ce n'est pas désagréable, certes, mais cela ne se regarde que d'un seul oeil


mercredi 10 août 2011

380 ◆ RISE OF THE PLANET OF THE APES de Rupert WYATT ★★★★★




Résumé : Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.




Mon Avis : Je n'ai pas décroché une seule seconde de la projection, tout était parfait! Cette préquel d'une de mes saga culte de mon enfance répondait à mes attentes et quel plaisir d'avoir vu un film aussi sensationnel de par son scénario en premier lieu car sans une bonne histoire çà ne fonctionnerait pas. La technologie actuelle évidemment, qui rend ces primates si réalistes, les acteurs qui interprètent chaqu'un des primates grâce à la motion capture ont fait un formidable travail. Est-ce que je dois encourager l'académie des Oscars à récompenser ce genre de performance surtout quand on a le maître qui est au top de sa forme dans l'expression et l'interprétation de César : Monsieur Andy Serkis. En tout cas l'histoire est suffisamment crédible pour qu'on ne tombe pas dans le cliché et dans le copier Coller, car c'est bien d'une nouvelle adaptation qu'on a à faire saupoudré d'une grande leçon d’humanité. Les séquences d'actions sont incroyables surtout ce final sur le pont. On comprend parfaitement cette envie de liberté qui pousse à la révolte face à la maltraitance lié aux expériences d'une  minorité d'humains. Bref, voici un petit bijou de SciFI  qui ne demande qu'à avoir des suites... vu que c'est très à la mode... mais cette fois je l'encourage.



mercredi 9 février 2011

344 ◆ TRON LEGACY de Joseph KOSINSKI ☆




Résumé : Sam Flynn, 27 ans, est le fils expert en technologie de Kevin Flynn. Cherchant à percer le mystère de la disparition de son père, il se retrouve aspiré dans ce même monde de programmes redoutables et de jeux mortels où vit son père depuis 25 ans. Avec la fidèle confidente de Kevin, père et fils s'engagent dans un voyage où la mort guette, à travers un cyber univers époustouflant visuellement, devenu plus avancé technologiquement et plus dangereux que jamais...




Mon Avis : Comment on dit déjà quand on emballe dans du papier alu' un beau caca. Bah c'est TRON 2.0. L'art est la manière de nous offrir du néant. Qu'est ce que c'était mauvais! Y a pas à dire, il y a une raison si beaucoup de cinéphile averti ramènent toujours tout aux années 80' Mais bon sang qu'est ce qu'on nous sert! Des remake, reboot tellement mal foutu! Moi j'ai vu TRON LEGACY mais qu'elle merde que c'était p*** Pas d'scénario? Pourquoi vouloir refaire un film si il faut juste piquer les idées (moto, vehicule, navire) de ce qui a déjà été fait. Des pans de dialogue interminable et spirituel, il est où le délire du tout premier? Franchement la magie n'a pas opéré. Parcontre si quelqu'un pourra m'expliquer ce qu'est un ISO et aussi pourquoi je vois du cochon lors du diner passé dans un monde virtuel, je serais curieux de lire sa version. Un conseil revisionné le premier TRON avec plus d'action, plus de rythme et une histoire qui a un sens au moins. Déjà on a plus de 3 personnages pendant tous le film pour nous divertir. Pppfiou! j'ai vraiment perdu mon temps à espérer voir une tuerie de l'original... trop grosse déception qui ne méritait qu'une sanction niveau notation et pourtant je l'ai attendu ce TRON LEGACY la déception n'en fut que plus grande heureusement qu'il y a la BO de Daft Punk pour sauver les meubles.




mercredi 16 juin 2010

309 ◆ THE A-TEAM de Joe CARNAHAN ★★★★★




Résumé : Un groupe de vétérans ayant fait leur service militaire en Irak sont recherchés par l'armée américaine pour un crime qu'ils n'ont pas commis. Leurs aventures les pousseront à venir en aide à des innocents, tout en cherchant à se tenir loin des autorités.




Mon Avis : ENORME ! Cette adaptation de l'agence tous risques au cinéma est une pure merveille. A commencer par un casting en or avec un Liam Neeson impérial en Hannibal, en passant par Bradley Cooper plus séducteur que jamais en Futé, ainsi que le catcheur Quintum Jackson qui surpasse la version de Mister T en se démarquant de l'interprétation originale et que dire de Sharlto Copley un véritable taré en Looping avec ses successions de vannes et de farces envers Barracuda... franchement casting parfait, chaqu'un n'essayant pas de tiré la couverture à lui seul! Les seconds rôles comme l'actrice Jessica Biel ou encore Patrick Wilson étaient de très bon sparring partner, certainement la raison de cette alchimie entre tous les acteurs. Ensuite cette adaptation est bourrée de scénes d'actions démentielles (une série B qui s'assume avec par exemple la séquence du tank dans les airs!). Voilà! Une histoire efficace et simple très bien dosé d'action et d'un humour dévastateur rempli de répliques chocs accompagné par une Bande son survitaminée. En tout cas le pari est réussi, Joe Carnahan réussit avec succès a dépoussiéré L'Agence Tous Risques de mon enfance, en espérant le retour de toute l'équipe pour une d'éventuelle suite (faut quand même si attendre). Un des meilleurs films de 2010 pour l'instant a voir de toute urgence.



mercredi 3 juin 2009

257 ◆ TERMINATOR SALVATION de McG. ★★★☆☆




Résumé : En 2018, après l'apocalypse qui a vu s'affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators. Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l'apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s'être trouvé dans le quartier des condamnés à mort. Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s'il est un rescapé du passé. Alors que Skynet prépare l'assaut final, Connor et Marcus s'engagent dans une odyssée qui va les mener au cœur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l'annihilation programmée de l'humanité tout entière...




Mon Avis : Depuis le temps qu'on nous en parle, il fallait bien que l'on finisse par voir à quoi peut bien ressembler cette guerre entre les humains et les machines. C'est donc dans un contexte post-apocalyptique que commence ce dernier opus de la saga TERMINATOR, tandis que John Connor sait qu'il devra bientôt rencontrer son père et l'envoyer dans le passé... Mais dans ce film, malheureusement rien ne sera approfondi concernant les voyages dans le temps. En revanche, on a droit à une histoire franchement bizarre de robot humanoïde qui à la base était un véritable être humain et s'est retrouvé contre son gré dans le clan des machines en tant qu'espion... Au début, je pensais que c'était pour expliquer l'origine des terminators, comme s'il s'agissait d'un premier prototype conçu directement à partir d'un homme. Car après tout, les autres terminators que l'on voit ne sont pas (encore ?) recouverts de tissus vivants et s'apparentent à des squelettes métalliques, étant donné qu'ils sont conçus pour le combat et non pour l'infiltration... Mais finalement non, ce robot humanoïde n'a rien à voir avec un prototype de première génération, étant donné que l'on découvre, tard dans le film, un modèle de Schwarzy que les producteurs avaient gardé de côté afin de rappeler au spectateur qu'il s'agit bel et bien du quatrième volet de TERMINATOR. Pourtant, je ne peux m'empêcher de penser qu'il manque à ce film tout ce qui a fait jusqu'à présent le charme de la saga, notamment l'humour qui est terriblement absent... Peut-être que la fameuse guerre contre les machines était bien mieux dans un coin de notre tête, telle que chacun pouvait se l'imaginer, plutôt que servie sur un plateau d'argent dans cette suite qui est de trop. En soi, je comprends la volonté de vouloir faire quelque chose de différent, surtout que TERMINATOR 3 commençait déjà à sentir le réchauffé, et je trouve logique que ce dernier film décide de nous montrer le combat entre les hommes et les machines... Cependant, on pouvait s'attendre à quelque chose de plus réussi et surtout de plus lié aux précédents films. Lorsque je regarde une suite, j'aime bien y voir des liens directs avec les films qui ont précédé, une certaine cohérence homogène. Ici, on ne voit pas vraiment ce que l'on est venu voir, mais on voit plein d'autres trucs! Alors on peut dire que ce TERMINATOR 4 SALVATION est celui qui se détache le plus de la saga mais en nettement moins réussi. Dommage! 



REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)