Résumé : Une paléontologue part en Antarctique rejoindre une équipe de scientifiques norvégiens qui a localisé un vaisseau extraterrestre emprisonné dans la glace. Elle y découvre un organisme qui semble s'être éteint au moment du crash, de multiples années auparavant. Mais lors de l'extraction la créature se libère accidentellement de sa prison glacée. Capable de reproduire à la perfection tout organisme vivant, elle s'abat sur les membres de l'expédition, les décimant un à un. Aux confins d’un continent aussi fascinant qu’hostile, le prédateur protéiforme venu d’un autre monde tente de survivre et de prospérer aux dépens d’humains terrorisés qu’il infecte et pousse à s’entre-tuer. The Thing sert de prélude au film culte de 1982, réalisé par John Carpenter, dont il reprend le titre.
Mon Avis : C'est dans l'attente de revivre l'angoisse d'un de mes films culte le THE THING de John Carpenter que je m'impatientais de voir cette nouvelle version 2.0. Bien que j'avais pris soins de ne pas voir la bande annonce, j'ai constaté la supercherie d'avoir vendu un remake pour le faire passer pour un prequel. Pas mal le plan marketing! Le principal gros défaut de THE THING 2.0 c'est le faite d'avoir négliger l'importance des moments de paranoïa entre les personnages. On en montrait trop de cette créature au lieu d'instaurer une atmosphère oppressante comme dans le cultissime premier opus. Tout était trop prévisible et pis Mary Elisabeth Winstead a part roulé des yeux d'effroi je me demande ce qu'elle faisait en tête d'affiche du film, surtout en tant que scientifique vu que dentiste çà aurait été beaucoup mieux pour elle lol. Voilà çà manquait un peu de folie dû a des second rôles pas charismatique du tout et dont on se doute bien qu'ils serviront qu'à s'faire manger. Les CGI des créatures franchement très laid vu ce que j'ai pu voir ailleurs jusqu'à présent. Parcontre les producteurs ont loupé quelque chose en ne confiant pas le rôle titre à Joel Edgerton, il avait trop des airs à la Kurt Russel surtout lorqu'il devait se trainer comme un boulet l'autre. Voilà après FRIGHT NIGHT 2.0 le massacre continu avec ce énième remake. Le film je l'ai tellement trouvé mauvais que même le raccord avec le générique du début de la version de 1982 sonnait faux.