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mercredi 14 septembre 2011

387 ◆ FRIGHT NIGHT 2011 de Craig GILLESPIE ☆




Trop déçu! : Rien ne vaudra l'original! Une comédie horrifique avec ses excellents maquillages "à l'ancienne" que l'on peut se revoir à volonté. Et comme il y a tellement de fan, Hollywood nous en a fait une nouvelle purge pour plaire à la génération actuelle avec sa tonne de CGI et de l'action, parce qu'il en faut de l'action... dans la Bande Annonce pour les attirer dans la salle. Parfois je me dis que çà à du bon d'avoir la possibilité de récupérer des navets sur le net mais bon voilà, en tant que cinéphile j'ai la manie de voir tout et "n'importe quoi" au ciné avec l'espoir d'y redecouvrir une oeuvre qui a marqué mon enfance. Ici il y en avait rien à tirer de ce "remake" du yesman Craig Gillespie. Rien! Même les acteurs n'était pas au niveau! Un conseil : faut revoir le premier dont je trouve qu'à quelques détails près le film n'a pas pris une ride. 

En aparté : j'ai pas compris que celà soit Tom Holland (le réalisateur de l'époque) qui était le scénariste de ce Frightnight 2011 immonde. Alors volonté des studios d'imposer leur propre vision de son film?(*sic).



(1985)


(2011)

386 ◆ THE VAMPIRE DIARIES SAISONS 1,2 & 3 VOSTFR ☻☻☻☻☺



Synopsis : Quatre mois après le tragique accident de voiture qui a tué leurs parents, Elena Gilbert, 17 ans, et son frère Jérémy, 15 ans, essaient encore de s'adapter à cette nouvelle réalité. Belle et populaire, l'adolescente poursuit ses études au Mystic Falls High en s'efforçant de masquer son chagrin. Elena est immédiatement fascinée par Stefan et Damon Salvatore, deux frères que tout oppose. Elle ne tarde pas à découvrir qu'ils sont en fait des vampires...




Mon Avis : Il fallait que j'attende un faux pas de cette série pro ado avant de la poster sur le blog mais je n'aie rien vu venir, Kevin Williamson et sa team savent renouveler leurs personnages principaux pour pas que l'on se lasse. C'est un excellent divertissement avec une saison 3 qui est rythmé par des rebondissement à chaqu'un des épisodes. Je la recommande pour ceux qui n'ont pas encore subie d'overdose d'histoire de Vampire moderne. 




Résumé : L'ensemble de cette saison est centrée sur les Originaux. Le personnage de Klaus est grandement exploité dans cette saison et prend une place bien plus importante qu'auparavant dans l'intrigue principal du feuilleton. son histoire sera progressivement dévoilée. De nouveaux personnages récurrents font aussi leur apparition afin de servir cette intrigue. Le caractère mythologique de la série est de première importance pour cette saison, et devient même le moteur des intrigues principales. Les relations inter-personnages se compliquent davantage, donnant lieu à de nombreux retournements de situation, plus ou moins décisifs. Une évolution définitive s'opère pour la plupart des personnages principaux.


SAISON 3

Episode 1 - The Birthday
Episode 2 - The Hybrid
Episode 3 - The End of the Affair
Episode 4 - Disturbing Behavior
Episode 5 - The Reckoning
Episode 6 - Smells Like Teen Spirit
Episode 7 - Ghost World
Episode 8 - Ordinary People
Episode 9 - Homecoming
Episode 10 - The New Deal
Episode 11 - Our Town
Episode 12 - The Ties That Bind
Episode 13 - Bringing Out the Dead
Episode 14 - Dangerous Liaisons
Episode 15 - All My Children
Episode 16 - 1912
Episode 17 - Break On Through
Episode 18 - The Murder of One
Episode 19 - Heart of Darkness
Episode 21 - Before Sunset
Episode 22 - The Departed




Résumé : L'ensemble de la saison est centrée sur le personnage de Katherine Pierce, dont l'histoire est révélée tout au long des épisodes de cette saison et qui constitue le centre de la plupart des intrigues. Cette ligne narrative permet d'introduire de nouveaux personnages, tandis que la mythologie de la série dérive lentement du personnage de Katherine à celui de Klaus, l'un des Vampires Originaux et l'antagoniste principal de la fin de saison. D'autre part, la mythologie de la série, qui se limitait jusque là aux vampires, commence à intégrer de nouvelles créatures. Cette mythologie se précise et dévoile peu à peu la direction que la série s'apprête à prendre ainsi que ses conséquences au niveau des principales intrigues tandis que la dynamique relationnelles de certains personnages évolue.


SAISON 2

Episode 1 - The Return
Episode 2 - Brave New World
Episode 3 - Bad Moon Rising
Episode 4 - Memory Lane
Episode 5 - Kill Or Be Killed
Episode 6 - Plan B
Episode 7 - Masquerade
Episode 8 - Rose
Episode 9 - Katerina
Episode 10 - The Sacrifice
Episode 11 - By the Light of the Moon
Episode 12 - The Descent
Episode 13 - Daddy Issues
Episode 14 - Crying Wolf
Episode 15 - The Dinner Party
Episode 16 - The House Guest
Episode 17 - Know The Enemy
Episode 18 - The Last Dance
Episode 19 - Klaus
Episode 20 - The Last Day
Episode 21 - The Sun Also Rises
Episode 22 - As I Lay Dying




Résumé : Elena Gilbert, jeune lycéenne de Mystic Falls, en Virginie, a perdu ses parents lors d'un tragique accident de la route. Depuis la mort de ces derniers, ses journées ne sont que tristesse, et elle n'a pour réconfort que son journal intime. C'est alors que le jour de la rentrée scolaire, elle fait la rencontre d'un nouvel étudiant, Stefan Salvatore, un brun ténébreux aussi mystérieux que solitaire aux étranges capacités, et du frère de celui-ci, Damon, tout aussi spécial. Elena découvre vite qu'ils cachent un terrible secret qui va bouleverser sa vie…


SAISON 1

Episode 1 - Pilot
Episode 2 - The Night of the Comet
Episode 3 - Friday Night Bites
Episode 4 - Family Ties
Episode 5 - You're Undead to Me
Episode 6 - Lost Girls
Episode 7 - Haunted
Episode 8 - 162 Candles
Episode 9 - History Repeating
Episode 10 - The Turning Point
Episode 11 - Bloodlines
Episode 12 - Unpleasantville
Episode 13 - Children Of The Damned
Episode 14 - Fool Me Once
Episode 15 - A Few Good Men
Episode 16 - There Goes the Neighborhood
Episode 17 - Let The Right One In
Episode 18 - Under Control
Episode 19 - Miss Mystic Falls
Episode 20 - Blood Brothers
Episode 21 - Isobel
Episode 22 - Founder's Day

㋡ BLACK & JEWISH par Katherine GRAHAM & Rachida JONES




Fun Or Die : C'est qu'elle se défend bien Katherine Graham de VAMPIRE DIARIES niveau flow rap, pour nous faire cette parodie que je trouve bien marrante à voir sur la communauté juive et afroaméricaine. Pas de polémique juste de l'autodérision accompagné de Rachida Jones.

mercredi 24 août 2011

385 ◆ COWBOYS AND ALIENS de John FAVREAU ☆





Résumé : Arizona, 1873. Un homme qui a perdu tout souvenir de son passé se retrouve à Absolution, petite ville austère perdue en plein désert. Le seul indice relatif à son histoire est un mystérieux bracelet qui enserre son poignet. Alors que la ville est sous l’emprise du terrible colonel Dolarhyde, les habitants d’Absolution vont être confrontés à une menace bien plus inquiétante, venue d’ailleurs... 





Mon Avis : Cowboys & Aliens, c'est le genre de film que tous les gamins ont rêvé étant petit, en jouant avec des jouets en plastique. En même temps ce genre de cross over délirant, sur le papier ça a quelque chose de jouissif et de délirant. Après on voit que c'est Favreau à la réalisation, là on peut commencer à avoir peur. Il n'a clairement pas le potentiel pour assurer la mise en scène d'une oeuvre potentiellement aussi jouissive. Il aurait fallu quelqu'un comme Raimi (mais bon le pauvre ne peut pas être partout). Parce que si le premier IRON MAN était parfait c'était grâce à la performance de Robert Downey Jr que grâce à la mise en scène ou même au scénario. Ensuite le 2 à part une scène de procès, qui fait ressortir la mégalomanie délirante de Tony Stark... c'était à jeter, la faute à des scènes d'action débiles, sans imagination. Donc la grande question était, Favreau étant un mec qui veut bien faire, va t'il réussir à insuffler du charme à son film en débit de ses défauts? Au début on pourrait penser que oui, Craig ultra charismatique, amnésique, badass, ancien desperado débarque en ville avec un bracelet énigmatique autour du bras. Damned le rêve quoi. Je veux dire on peut s'attendre à un film jouissif au possible, une sorte de Duke Nukem au temps des cow boy. Alors après on voit le casting défiler, Paul Dano, Sam Rockwell, Ford… Des gens biens, sauf que Ford ne sait plus jouer depuis bien longtemps, et Dano et Rockwell sont réduit à des seconds rôles pour faire le nombre, des peureux, ultra chiants au destin éminemment prévisible. Parce que attention il ne faut pas s'attendre à une seule fois surpris durant ce film. Donc le début du film se laisse regarder, puis s'en suit des incohérences à n'en plus finir, des rebondissements aberrants tellement ils sont improbables, prévisibles et d'une connerie sans nom. Ensuite la mise en scène livre très vite ses limites, si le premier quart d'heure est bien foutu le reste est vraiment à la ramasse, et ça n'arrive pas à combler une écriture poussive, des personnages creux, des complexes pères/fils à la mord moi le noeud. Ridicule à souhait! Et c'est cousu de fil blanc, et pas fun pour un sous. Honnêtement il n'y a pas grand chose à sauver de la débâcle. Le film n'assume pas son statut de grand n'importe quoi attendu, et le côté dramatique est juste hilarant, on ne peut rien faire pour lui en somme. En plus on se tape la petite musique triste et blablabla la morale en plus. Et ceci sans parler de toute la niaiserie qui entoure le personnage de Craig. Et les flash back qui ont une photo tellement dégueulasse etc. Bref COWBOYS & ALIENS plus qu'une grosse arnaque.

mercredi 17 août 2011

384 ◆ CAPTAIN AMERICA FIRST AVENGER de Joe JOHNSTON ★★★★☆




Résumé : Captain America : First Avenger nous plonge dans les premières années de l’univers Marvel. Steve Rogers, un jeune homme frêle et timide, se porte volontaire pour participer à un programme expérimental qui va le transformer en un Super Soldat connu sous le nom de Captain America. Allié à Bucky Barnes et Peggy Carter, il sera confronté à la diabolique organisation HYDRA dirigée par le redoutable Red Skull.




Mon Avis : Avec Captain America : First Avenger, Joe Johnston mélange les genres - action, aventure, guerre - et nous livre un cocktail très efficace. Sans fausse note. Sans mauvais goût. Et, surtout, sans la pression de Marvel, qui a tendance à trop noyer ses justiciers dans un tout difficile à digérer (Iron Man 2 et Thor pour ne citer qu'eux). Parce que Captain America est le premier, Joe Johnston peut s'affranchir des nombreux inserts chargés de préparer l'avenir ; et n'est pas obligé non plus de se coltiner tous les clins d'œil faisant passer l'intrigue principale au second plan (hormis au début et à la fin, juste pour borner). Du coup, on se retrouve en face d'un divertissement capé, fruit de séquences fortes nimbées dans une belle photographie des années 40. Courses poursuites haletantes, rixes au corps-à-corps rendues impressionnantes par le biais du bouclier-boomerang et vrai méchant (Hugo Weaving, aussi effrayant qu'en agent Smith), Captain America : First Avenger entasse les atouts du blockbuster calibré et assure le spectacle de bout en bout. Porté par un Chris Evans préparé physiquement et psychologiquement, il se permet même quelques invités de luxe (Tommy Lee Jones, impeccable en colonel aigri) pour rallier l'ensemble des suffrages, amplement mérités. 



383 ◆ CONAN THE BARBARIAN de Marcus NISPEL ★☆☆☆☆




Résumé : Pour Conan, le légendaire guerrier cimmérien, ce qui avait commencé comme une vengeance personnelle va se muer en combat épique pour sauver Hyboria d’une puissance maléfique surnaturelle. Face à ses ennemis, aux terrifiantes créatures et aux épreuves d’exception qui l’attendent, Conan va peu à peu comprendre qu’il est l’ultime espoir d’un peuple…




Mon Avis : Le reboot du film de John Milius CONAN THE BARBARIAN, qui voit Conan partir sur les traces de l'assassin de son père, le tyran Khalar Zym, dont l'objectif est de ramener sa femme du monde des morts pour en acquérir tout le pouvoir blah blah blah! Alors voici un remake franchement médiocre (encore un autre). La faute à qui ? Surement pas à l'esthétisme du film, qui vire entre le kitsch et le sérieux, avec ses décors réussis proposant quelques vues d'ensemble vraiment dignes des oeuvres de Frank Frazetta et ses costumes bien choisis. Ce qui est ceci dit le minimum syndical d'une telle production et d'un tel brouhaha précédant la sortie du film et constituant toute l'attente. Mais mise à part la beauté plasitique de l'oeuvre, il n'y a pas grand-chose à sauver. La mise en scène est dénuée de tout souffle épique, ne montre rien, ne propose aucune fresque grandiose que l'on était en droit d'attendre. L'émotion est au point zéro et l'alchimie entre les personnages ne fonctionne jamais. Vient alors l'interprétation, à l'image du film, très inégale : pour le duo des gentils, Jason Momoa ne convainc que rarement en monolithe hargneux, semblant pourtant parfois vraiment habité par le rôle et Rachel Nicols joue horriblement mal et ne présente aucune personnalité quand le méchant duo père et fille se montre plus impliqué, et hélas moins présent à l'écran, exactement comme les rares instants de grâce du film. C'est finalement eux qui apportent le peu d'intérêt à ce reboot. Idem pour Ron Pearlman, touchant mais cantonné au rôle du père assassiné. Mais enfin, ce qui plombe plus que tout le film, c'est le scénario. Empilant les scènes d'action à foison sans aucun raccord ni temps mort, le rythme s'en retrouve si affecté que l'on a parfois l'impression d'avoir devant soi le schéma type du nanar fauché de base (à 38 Million de dollar?). Si encore l'on avait des chorégraphies réussies, cela passerait mais non, l'ensemble des combats exalte la fadeur à plein nez. Bref, CONAN est un film surfait, un coup dans l'eau, victime de ses ambitions. Quant à l'inspiration, on ne doute pas qu'il y en avait derrière la caméra de Marcus Nispel, qui parlait avec passion de son film. Au passage à l'acte, plus rien ne se voit, et l'on a rarement vu film aussi pauvre en mise en scène que riche en matière. Ce n'est pas désagréable, certes, mais cela ne se regarde que d'un seul oeil


382 ◆ LA PIEL QUE HABITO de Pedro ALMODOVAR ★★★★☆




Résumé : Depuis que sa femme a été victime de brûlures dans un accident de voiture, le docteur Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse. Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver cette peau : sensible aux caresses, elle constitue néanmoins une véritable cuirasse contre toute agression, tant externe qu’interne, dont est victime l’organe le plus étendu de notre corps. Pour y parvenir, le chirurgien a recours aux possibilités qu’offre la thérapie cellulaire. Outre les années de recherche et d’expérimentation, il faut aussi à Robert une femme cobaye, un complice et une absence totale de scrupules car les scrupules ne l’ont jamais étouffé, il en est tout simplement dénué.




Mon Avis : La vengeance est un plat macabre qui se mange froid comme dirait l'adage et le cinéma ne cesse de nous mettre en garde que c'est avant tout un jeu très dangereux à conséquence. Tel est pris qui croyait prendre, l'éminent chirurgien Robert Ledgard l'aura appris à ses dépends, il n'y a rien de bon à être aveuglé par la haine. Rien de bon, parce que sans pouvoir s'en rendre compte, il finit par se faire prendre à son propre piège. Pedro Almodovar signe ici un thriller malsain, pervers et pourtant tellement humain. A mesure que l'histoire avance, à mesure que les explications tombent, le film gagne en sadisme. A la limite anxiogène, LA PIEL QUE HABITO dérange et provoque le spectateur avec une maîtrise des plus étonnante même si l'on est subjugué par la beauté  de la proie! Critique constructive en approche...


mercredi 10 août 2011

381 ◆ GREEN LANTERN de Martin CAMPBELL ★☆☆☆☆



Résumé : Dans un univers aussi vaste que mystérieux, une force aussi petite que puissante est en place depuis des siècles : des protecteurs de la paix et de la justice appelés Green Lantern Corps, une confrérie de guerriers qui a juré de maintenir l’ordre intergalactique, et dont chaque membre porte un anneau lui conférant des super-pouvoirs. Mais quand un ennemi du nom de Parallax menace de rompre l’équilibre entre les forces de l’univers, leur destin et celui de la Terre repose sur leur dernière recrue, le premier humain jamais choisi : Hal Jordan.



Mon Avis : C’est dommage pour le formidable visuel spatial, les gardiens, la riche faune E.T de Green Lantern Corps, Sinestro etc… mais la réalisation était fainéante et baclée (formation trop vite expédiée ou coupée au montage (?), un dénouement avec Hector Hammond ridicule, Hal Jordan et ses dialogues nian nian avec sa pseudo amourette avec Carol Ferris). J’ai même trouvé que sur Terre çà manquait de plateau de tournage pour ce film, c’était pas assez varié… soit çà s’passe sur un balcon, dans un seul bar, dans un hangar ou dans un bureau. Moi perso j’en attendais rien de plus de ce énième film de super héros mais y a une chose que je retiens tout d’même, c’est que les séquences dans les airs du futur Superman de Snyder va déchiré vu le niveau que l’on a déjà atteint avec G.L (fini les fils suspendus mdr) Les mouvements sont fluides et très réalistes. En tout cas si suite il y a il faut absolument changer de Réal’ , de scénariste (Berlanti c’est pour les séries familiales à la base) et bon sang Ryan Reynold doit prendre son personnage au sérieux… c’est moi où j’avais l’impression qu’il louchait sans arret! Bref… allez voir “Rise of the Apes” pour vous lavez le cerveau, moi c’est ce que j’ai fait juste après! GREEN LANTERN C’est le film qui m’a lassé des super héros trop de daube et la dernière chance c’est CAP’ AMERICA dont j’en attend aussi rien du tout mais bon, faut le voir, pas l’choix 


380 ◆ RISE OF THE PLANET OF THE APES de Rupert WYATT ★★★★★




Résumé : Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.




Mon Avis : Je n'ai pas décroché une seule seconde de la projection, tout était parfait! Cette préquel d'une de mes saga culte de mon enfance répondait à mes attentes et quel plaisir d'avoir vu un film aussi sensationnel de par son scénario en premier lieu car sans une bonne histoire çà ne fonctionnerait pas. La technologie actuelle évidemment, qui rend ces primates si réalistes, les acteurs qui interprètent chaqu'un des primates grâce à la motion capture ont fait un formidable travail. Est-ce que je dois encourager l'académie des Oscars à récompenser ce genre de performance surtout quand on a le maître qui est au top de sa forme dans l'expression et l'interprétation de César : Monsieur Andy Serkis. En tout cas l'histoire est suffisamment crédible pour qu'on ne tombe pas dans le cliché et dans le copier Coller, car c'est bien d'une nouvelle adaptation qu'on a à faire saupoudré d'une grande leçon d’humanité. Les séquences d'actions sont incroyables surtout ce final sur le pont. On comprend parfaitement cette envie de liberté qui pousse à la révolte face à la maltraitance lié aux expériences d'une  minorité d'humains. Bref, voici un petit bijou de SciFI  qui ne demande qu'à avoir des suites... vu que c'est très à la mode... mais cette fois je l'encourage.



mercredi 3 août 2011

378 ◆ SUPER 8 de JJ ABRAMS ★★★☆☆




Résumé : Été 1979, une petite ville de l’Ohio. Alors qu'ils tournent un film en super 8, un groupe d’adolescents est témoin d'une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Ils ne tardent pas à comprendre qu'il ne s'agit pas d'un accident. Peu après, des disparitions étonnantes et des événements inexplicables se produisent en ville, et la police tente de découvrir la vérité… Une vérité qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer.




Mon Avis : Annoncé comme un retour à un "cinéma des années 80", on en retrouve la saveur et la jubilation. Les Goonies et E.T reviennent en filigrane sous la patte de Steven Spielberg à la production (et ce n'est pas déplaisant). L'ambiance année 70' est bien marquée et se retrouve dans les costumes, coiffures, accessoires et voitures, et surtout musiques tout au long du film. C'est assurément bien réalisé, très propre et très appliqué. Un vrai film pop-corn tous publics, comme on n'en avait plus vu depuis un petit moment. Même si SUPER 8 ne va pas laisser des traces indélébiles dans nos mémoires communes.



REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)