Nombre total de pages vues

I SUGGEST ⚆ ⚆ ⚇ ...


アーカイブ ⚆ Archives

mercredi 7 mars 2012

430 ◆ JOHN CARTER de Andrew STANTON ☆




Résumé : Tiré du premier livre du « Cycle de Mars » d’Edgar Rice Burroughs, le film raconte le fascinant voyage de John Carter, qui se retrouve inexplicablement transporté sur Barsoom (Mars), au cœur d’une guerre mystérieuse entre les habitants de la planète. Parmi tous les êtres étranges qui peuplent cet univers, il fera la connaissance de Tars Tarkas et de la captivante princesse Dejah Thoris. Dans ce monde sur le point de disparaître, Carter va découvrir que la survie de Barsoom et de son peuple est entre ses mains…




Mon Avis (et je suis pas content) : Un film de faineant réalisé par un génie de l'animation : Andrew Stanton de chez PIXAR (Le monde de Némo, Wall-E etc). J'ai alluciné quand j'ai vu ce qu'il a fait du PRINCESS OF MARS de Sir Edgar Rice Burrough. Rien n'a été respecté du livre vu qu'il s'agissait pourtant d'une adaptation, mais je constate surtout le faite, que même une oeuvre datant de 1966 soit plus crédible que cette ertzats de Flash Gordon. Plus kitsh tu meurs! Des types maquillés derrière un fond vert comme FX, des vaisseaux même pas originaux, avec un type qui saute partout, v'là ce qu'il a essayé de nous vendre. Le casting de la Série ROME (César & Marc Antoine dans exactement les mêmes rôles mais sur Mars mdr), un Bryan Cranston de BREAKING BAD avec une bête perruque pour être raccord avec sa série, les soit disant "Therns" du film avec la tête d'extraterrestre de Mark Strong, qu'on emploie à toutes les sauces pour jouer les méchants (...et Andrew Stanton qui était soit disant fière de dire qu'il a choisi un casting d'inconnu si c'est pas se foutre de la gueule du monde!) Je parle pas du choix de Taylor Kitsh avec une interprétations de moule inexpressive et de la soit disant princesse qui était censé être rouge de peau, mais ici on a droit à un sosie de Pocahantas pour plaire à un public familial (merci Disney) C'est dommage que Disney/Andrew Stanton ont essayé de nous vendre du vent, fallait se fier à la bande annonce car je confirme le film ne montre quasiment rien, c'est plus pour cacher le peu de crédibilité de cette univers sur Mars et de ses combats d'un type contre une armée d'indigène sans se prendre aucune blessure et pleins d'autres trucs mal chorégraphiés voir même les mauvaises "échelles" entre les personnages réelles et le créatures ...mais j'en passe car si je dois parler du final à te taper sur la tête au générique de fin. Ma parole on nous a pris pour des brèles, je sais pas moi, les productifs ont oubliés que leur John Carter passé après StarWars, Avatar, Riddick etc. ? Faut pas valider ce genre de projet même avec un Andrew Stanton sous fumette!! Moi je suis pas surpris que ce film se soit manger au Box Office, le type qui a validé ce projet c'est fait viré avec les millions mis sur la balance moi je dis que c'est normal. Plus jamais çà par pitié! J'imagine ceux qui ont du ce taper JOHN CARTER en 3D et le pire, c'est qu'il y a même pas de Happy End. Horrible!!! 



mercredi 29 février 2012

429 ◆ THE GREY de Joe CARNAHAN ★☆☆☆☆




Résumé : Lorsque le vol vers Anchorage s’écrase dans l’immensité du Grand Nord, les rares survivants savent qu'ils n’ont que peu de chances de s’en sortir. Personne ne les trouvera et les loups les ont déjà repérés. Ottway est convaincu que le salut est dans le mouvement et que la forêt offrira un meilleur abri. Mais tous ses compagnons d’infortune ne sont pas de son avis et aux dangers que la nature impose, s’ajoutent les tensions  humaines. THE GREY nous entraîne aux confins du monde et d’un homme qui va tout faire pour survivre avec les derniers ; éliminés par leurs blessures, le froid, les prédateurs ou leurs propres limites.




Mon Avis : On est typiquement dans le film ou les protagonistes meurent un à un et ou l'ont sait que le dernier sera évidemment Liam Neeson. Le tout est de deviner à quelle sauce ils seront manger vu que c'est tellement prévisible. Trop de situations trop grosses voir irréalistes. Trop de bruits de loups à fond les manettes avec des effets spéciaux très moyens vu la qualité des loups crées. Les panoramas sont intéressants même si on sent le montage studio. Heureusement que les acteurs sont bons et que Liam Neeson soit là pour tenter de rentre le tout crédible.


mercredi 22 février 2012

428 ◆ CHRONICLE de Josh TRANK ★★★★★




Résumé : Trois lycéens se découvrent des super-pouvoirs après avoir été mis en contact avec une mystérieuse substance au fin fond d'un bois. D’abord tentés d’utiliser leurs nouveaux pouvoirs pour jouer des tours à leurs proches, ils vont vite prendre la mesure de ce qui leur est possible de faire. L'un d'eux va développer ses fabuleuses aptitudes qui l'entraîneront chaque jour un peu plus au-delà de tout ce qu’ils auraient pu imaginer. Un sentiment de puissance et d’immortalité qui va rapidement les pousser à s’interroger sur les limites qu’ils doivent s’imposer dans leurs actes.




Mon Avis : Il y a avait du AKIRA  dans ce final extraordinaire de CHRONICLE, une excellente version que je qualifierais de plus aboutie, du mythe du jeune au super pouvoir ; et pourtant ce n'est ni une production Marvel ou DC Comic. CHRONICLE c'est une histoire sombre, bien développée pour une fiction façon documentaire (et tant mieux vu que j'ai horreur de çà!). En tout cas il s'agit d'un bel hommage rendu avec des moyens judicieux et moins élevés, pour développer une trame intelligente que ce que l'on a l'habitude de montrer sur nos écrans. Une bonne surprise!






427 ◆ SAFE HOUSE de Daniel ESPINOSA ★★★★☆




Résumé : Tobin Frost est le plus redouté des ex-agent de la CIA. Après avoir échappé au contre-espionnage pendant près de dix ans, il refait surface en Afrique du Sud muni de documents ultra confidentiel mais fini par se faire attraper. Enfermé dans un bunker afin d'y être extrader du pays, sa "SAFE HOUSE" est prise d'assaut par un mystérieux commando. Suite à l'extermination du groupe d'agent chargé de sa protection, Tobin Frost doit échapper à la vigilance d'un jeune "bleu", Matt Weston, qui doit assurer sa fuite et le mener vers une nouvelle résidence sécurisée. 




Mon Avis : Mélange entre film d'action et thriller, SAFE HOUSE est un divertissement plaisant où l'on ne s'ennuie pas, si ce n'est lors de la mise en place des personnages à l'amorce du film. Je ne dirai pas que le scénario est original, je ne dirais pas non plus que c'est du déjà vu, c'est un argument un peu trop facile qui peut s'appliquer à presque tous les films qui sortent et sortiront à l'avenir et c'est bien normal. En effet créer une histoire qui sorte de l'ordinaire de nos jours, c'est difficile vu que les producteurs veulent une rentabilité immédiate sur le "produit". Le film nous offre d'ailleurs quelques surprises qui rehaussent le manque d'originalité du pitch, à savoir l'action principale se passe en Afrique du sud, ce qui offre enfin un paysage différent de celui des grandes villes américaines. Le jeu de Denzel Washington ne change pas et c'est parfait et il est toujours aussi bon quand il joue les rôles de vilain. Parcontre. Parcontre Ryan Reynolds me prouve encore qu'il pourrait avoir une bien meilleure filmographie si il se contentait d'interpréter des personnages à la  SMOKIN' ACES voir BURIED, que des rôles de beaux gosses comiques même de super héros. Sinon bien que globalement nous puissions deviner le terme de l'histoire et comme je suis friant des plans rapprochés, il y a bien quelques coups de feu par-ci par-là auxquels on s'attend mais les séquences d'action sont très proche des codes en vigueur (depuis Paul Greengrass et son JASON BOURNE) et j'avoue avoir été servie. Le duo Washington/Reynolds est donc un point fort du film, dont nous ressortons finalement satisfaits et divertis, sans avoir le sentiment de s'être fait avoir.



426 ◆ RUNDSKOP de Mickael R. ROSKAM ★★★★☆




Résumé : Jacky est issu d'une importante famille d'agriculteurs du sud du Limbourg. Grâce à sa collaboration avec un vétérinaire corrompu, Jacky s'est forgé une belle place dans le milieu de la mafia des hormones. Les choses se compliquent pour Jacky et tandis que l'étau se resserre autour de lui, tout son passé et ses lourds secrets ressurgissent.  Jacky Vanmarsenille est éleveur. C'est un être renfermé, imprévisible et parfois violent... Aux côtés d'un vétérinaire sans scrupule, il s'est forgé une belle place dans le milieu du trafic d'hormones. Mais l'assassinat d'un policier fédéral, et sa rencontre avec un ancien ami d'enfance qui partage avec lui un tragique secret, bouleverse le marché que Jacky doit conclure avec le plus puissant des trafiquants de Flandre...




Mon Avis : Un cinéma belge que j'aime particulièrement ici! Formidable, magistral et justement multiprimé. Une bonne surprise sublimé par la beauté des images. D'autant plus que le réalisateur flamand Michael Roskam maîtrise parfaitement son sujet sous fond d’un fait divers qui a marqué la dernière décennie de la Belgique : le trafic d’hormone bovine. Une histoire qui est donc judicieusement mis au second plan, pour se concentrer vers une sorte de Minotaure, chargé en testostérone (c'est pas une métaphore lol), troublant, aux pulsions sexuelles refoulées, habités par le magistral Matthias Schoenaerts (une révélation). Cet être mi-homme, mi-boeuf provoque l'interrogation tout au long du film et se livre à moult reprises à des scènes d’ultra-violence magnifiquement filmées, dans le même esprit d'un DRIVE de Nicolas Weding Refn. Un contour psychologique dût principalement à son interprétation de Jacky, agriculteur taciturne et violent qui a gardé enfoui en lui et à tout jamais les séquelles d’une agression d’une rare intensité subie dans les prémices de son adolescence en sera le fil conducteur. Le film est tellement bon que l’auteur/réalisateur ose même mêler habilement ce drame humain à cette enquête policière au coeur de la mafia bovine, menait un peu comme dans SNATCH avec l'introduction de Diedrick un indic infiltré et de garagistes liégeois "anti flaminsh" qui apportent un peu d'humour dans cette atmosphère noire et mélancolique sans plombé l'ambiance! RUNDSKOP ou BULLHEAD ...un vrai choc émotionnel à voir absolument!



mercredi 15 février 2012

425 ◆ GHOST RIDER - SPIRIT OF VENGEANCE de Mark NEVELDINE et Brian TAYLOR ☆



Résumé : Danny, jeune garçon porteur d’une prophétie, suscite la convoitise de Roarke, un homme mystérieux possédant de grands pouvoirs. On fait alors appel à Johnny Blaze pour se lancer à la recherche de l’enfant en lui proposant comme récompense de le libérer de son alter ego, le Ghost Rider. Poussé par le désir de lever sa malédiction et celui de sauver le garçon, le Rider parviendra-t-il à s’affranchir de la menace de Roarke ?




Mon Avis : Affligeant de nullité, c'est le pire film que j'ai vu. On se demande ce qu'ont foutu les réalisateurs pendant le tournage. Le choix des plans, le scénario (signé David S. Goyer tout de même!), le jeu des acteurs et le nouveau casting (Christophe Lambert voyons et même l'excellent Idriss Elba avec de fausse lentilles de contact), les effets spéciaux (qui paraissait bien... de nuit pas de jour), enfin bref tout dans ce film est raté (à 2 pour un tel navet franchement). Je préfère ne pas parler de la fin, tellement celle ci est ridicule et nul. J'implore à présent les réalisateurs ayant comme ambition de réaliser un film GHOST RIDER d'abandonner le projet, de peur de voir un film encore plus nul que celui ci à moins... qu'il y ait un reboot (c'est très à la mode) avec un nouveau casting ambitieux. En attendant j'ai posté de superbe art-concept en fin d'article, comme çà, pour le fun aussi!


mercredi 1 février 2012

424 ◆ THE WARD de John CARPENTER ★☆☆☆☆



Résumé : En 1966, Kristen, une jeune fille accusée d'avoir mis le feu à une ferme, est internée dans un hôpital psychiatrique. Elle y retrouve un groupe de patientes qui se disent victimes d'un fantôme apparaissant la nuit. Kristen qui n'aspire qu'à s'enfuir de cet endroit va se retrouver prise au piège par cet esprit maléfique.




Mon Avis : Je m'attendais à mieux de la part de John Carpenter car l'ennui pointe le bout de son nez de temps en temps durant tout le film. Le choix de Amber Heard a été judicieux car son jeu d'acteur nous tient en haleine tant bien que mal, la voir se trémousser dans sa camisole de force est un vrai régal... Plus sérieusement, il faudra attendre la fin pour relever le niveau général de l'ensemble.


423 ◆ DETACHMENT de Tony KAYE ★★★★☆




Résumé : Henry Barthes est un professeur remplaçant. Il est assigné pendant trois semaines dans un lycée difficile de la banlieue new-yorkaise. Lui qui s’efforce de toujours prendre ses distances va voir sa vie bouleversée par son passage dans cet établissement.





Mon Avis : ...




REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)