Résumé : Rien ni personne ne semble pouvoir arrêter la folie destructrice du roi Hypérion d'atteindre son but : libérer le pouvoir des Titans endormis afin d’anéantir les dieux de l’Olympe et l’humanité tout entière. Jusqu’à ce qu’un jeune tailleur de pierre, Thésée, jure de venger sa mère tuée par ses soldats. Avec l’aide de l'oracle Phèdre, Thésée rassemble une petite troupe de fidèles, et part affronter son destin dans une lutte désespérée pour préserver l’avenir de l’humanité.
Mon Avis : Ce film est absolument époustouflant et on ne s'ennuie pas une seconde. Les effets spéciaux sont à couper le souffle avec une 3D très bien exploitée, notamment dans la séquence finale et ce combat entre les dieux et les titans, on se
croirait revenu au temps des chevaliers du zodiaque avec les chevaliers
d'or. Tarsem Singh reussi enfin à adapter son propre visuel pour un peplum ce qui donne quelque chose de jamais vu jusqu'à présent dans une salle de ciné. Avec IMMORTALS j'ai enfin compris un de ses films du début jusqu'à la fin avec ses multiples tableaux sans faux rythmes et longueurs avec l'impression par moment d'assister à une pièce de théatre car pour une fois, il a su mettre de côté ses incohérences scénaristiques propre à son univers artistique sans me noyait dans sa créativité comme il m'en a toujours laissé l'habitude même ( ex: THE FALL). En plus, je pensais voir du "300" (puisque le marketing du film le cite) et pourtant ce n'était pas le cas. Il y avait très peu de ralentis à tout bout de champ mais uniquement quelques uns précis pour les démembrages qui servent des combats titanesques. Rien que les dieux étaient mille fois plus crédible que ceux du pseudo CHOC DES TITANS 2.0. Les acteurs principaux étaient là avec un Mickey Rourke au top de sa forme, Cavill c'est superman et la bombax qu'est Freida Pinto magnifique! J'ajouterais pour terminer que se fut un plaisir de revoir Stephen Dorff à son avantage dans un film ambitieux et que Luke Evans fut une découverte en Zeus. Donc voilà j'y est passé un excellent moment.
