Nombre total de pages vues

I SUGGEST ⚆ ⚆ ⚇ ...


アーカイブ ⚆ Archives

Affichage des articles dont le libellé est KevinBacon. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est KevinBacon. Afficher tous les articles

mercredi 1 juin 2011

366 ◆ X-MEN FIRST CLASS de Matthew VAUGHN ★★☆☆☆




Résumé : Avant que les mutants n’aient révélé leur existence au monde, et avant que Charles Xavier et Erik Lehnsherr ne deviennent le Professeur X et Magneto, ils n’étaient encore que deux jeunes hommes découvrant leurs pouvoirs pour la première fois. Avant de devenir les pires ennemis, ils étaient encore amis, et travaillaient avec d’autres mutants pour empêcher la destruction du monde, l’Armageddon. Au cours de cette opération, le conflit naissant entre les deux hommes s’accentua, et la guerre éternelle entre la Confrérie de Magneto et les X-Men du Professeur X éclata… X-Men : le commencement nous entraîne aux origines de la saga X-Men, révélant une histoire secrète autour des événements majeurs du XXe siècle.




Mon Avis : (de fan de comic book et çà se voit! loL) Quand le générique de fin est tombé je me suis dit : « MTF mais pourquoi MARVEL Studio a validé l’introduction de nouveaux jeunes mutants inventés pour le film et qui ont aussi peu de consistance? » MTF ils possèdent aux manettes un réalisateur qui a le potentiel de réussir ou tous les autres ont échoué, d’adapter enfin une de leur bande dessinée sur grand écran. Ils se seraient contenté de reformer les X-Men prépubère d’Origine avec Cyclope, Jean Grey, Le Fauve, Iceberg et Angel et j’aurais même crié au Chef d’œuvre !! Période Guerre Froide, le club des Damnés avec Shaw, la dame Blanche etc. Xavier Vs Magnéto en face (avec la genèse de la Confrérie des Mauvais Mutants pour ce dernier) et pis voilà, et çà l’aurait fait! J’enlèverais pas le faite que ce X-Men The Beginning et certainement (et de loin) la meilleur réalisation de chez Marvel gràce à un Matthew Vaughn qui nous fera tous regretter le faite qu’il aurait du être là avant Bryan Singer pour débuter la vraie trilogie, mais on est plus à une incohérence près avec Marvel (où la Fox, j’m’en fou) Jamais un film de super héros aura aussi bien été traité grâce à une énorme mise en scène lié à un contexte politique sombre certes mais réaliste (il y avait même un côté James Bond dans les décors et costumes de l’époque j’ai trouvé) Avec en fil conducteur l’histoire si particulière de Erik Lersher alias Magnéto, où Michael Fassbinder fût même habité par son personnage de bad guy rongé par la dualité entre rage et vengeance. Bon grosso modo : on a un Charles Xavier étonnamment cabotin dans sa jeunesse et taquin avec « sa sœur Mystique » (Why not ? Cette nouvelle relation tient la route juste pour le cinéma sinon çà n’a pas d’sens). On jongle avec des effets spéciaux très bien maîtriser aussi et on perd pas trop d’temps. avec mon préféré Azazel (le géniteur officiel de Diablo, avec Mystique comme Maman). Kevin Bacon au top comme d’hab’ dans cette nouvelle version de Sebastian Shaw et je parle pas de la trop sublime january Jones toujours dans une nouvelle version. Je comprends toujours pas le choix de Havoc et Hurleur et je parle même pas de la femme libellule et du black qui meurt avant les autres (pour pas changer les bonnes vieilles habitudes) … mais pour ces quatres là c’est plus le casting ! Bref beaucoup trop d’incohérence si je rajoute un Hank McCoy et un maquillage en Beast hmm ! trop pourri même si on a eu droit à deux cameo sympathique avec Wolverine et la Mystique adulte de Singer (je sais qu’il y en a qui attendait cette info) …et je reviens à penser à ma question : « MTF mais pourquoi MARVEL Studio a validé l’introduction de nouveaux jeunes mutants inventés pour le film et qui ont aussi peu de consistance? » Dans l’ensemble, le film est bien et mérite une suite… hmm on a pas l'choix" :°II 



mercredi 16 janvier 2008

177 ◆ DEATH SENTENCE de James WAN ★★★★☆





Résumé : Entre sa carrière réussie et sa vie de famille épanouie, l'existence de Nick Hume est plutôt confortable. Pourtant, un soir, alors qu'il fait le plein d'essence avec son fils aîné, Brendan, la route de Nick va croiser celle d'un gang. Son fils n'y survivra pas. Bien qu'arrêté, le coupable, Joe Darly, est vite libéré. Pour Nick, il n'est pas question qu'il puisse s'en tirer ainsi. Ravagé par la douleur et assoiffé de vengeance, il décide de prendre les choses en main et de punir lui-même l'assassin de son fils. Après avoir abattu Joe, Nick tente de revenir à son ancienne vie auprès de sa femme, Helen, et de son fils survivant, Lucas. Nick croit que tout est fini, mais il a du sang sur les mains, et le grand frère de Joe, Billy, le chef du gang, est sur ses traces. Jusqu'où iront les deux hommes au nom de leur famille ?





Mon Avis : Après l'original SAW et l'excellent DEAD SILENCE, le réalisateur James Wan délaisse le genre horrifique pour signer une fresque abominable sur la douleur et la manière de la retourner envers ceux qui l'ont créée. Ne reprenant que quelques éléments du roman original dont est tiré "commercialement" le film à savoir la suite de "Death Wish" (déjà porté à l'écran par Charles Bronson dans le célèbre Justicier dans la ville), Wan et Leigh Whannell, son compère de toujours, remodifient totalement l'histoire pour servir un scénario dont la violence est portée à l'extrême. Très réaliste, DEATH SENTENCE baigne dans une atmosphère glauque et terriblement violente. Mais le metteur en scène ne se limite pas à une simple histoire de vendetta sanglante, il s'attarde également sur cette famille lambda décomposée après la mort de leur fils aîné, n'oubliant personne, allant de la mère déchirée au benjamin délaissé. Kevin Bacon livre, lui, une interprétation poignante en simple père anéanti qui fera justice tout seul après avoir constaté que la justice ne lui sera d'aucune aide. On pourrait blâmer cette immoralité mais le film perdrait en efficacité, surtout lorsque l'on constate que la fiction se rapproche de la réalité en voyant la justice américaine actuelle. Face à notre héros malgré lui, le méconnaissable Garrett Hedlung de 4 BROTHERS, un brin cabotin en chef de gang nouvelle génération et le toujours aussi excellent John Goodman, ici dans un rôle plutôt inhabituel. Nous suivons donc, impuissants et contemplatifs, la véritable descente aux enfers d'un homme ordinaire qui, petit à petit, va se dénaturaliser pour devenir un être fou de vengeance se rapprochant finalement de ses propres ennemis. Dans un monde où la police sermonne et où l'insécurité est omniprésente, Nick Hume est le dernier rempart à la réelle justice, point culminant de ce film étouffant. Autre point intéressant : la mise en scène époustouflante de James Wan, ce dernier n'hésitant pas filmer de manière très crue, caméra à l'épaule, et à proposer un impressionnant plan-séquence où notre héros est poursuivi dans un vaste parking. Ponctué de scènes extrêmement violentes comme l'intrusion dans le domaine familial ou encore le final gorissime où jambes et autres membres explosent au son de la chevrotine, DEATH SENTENCE est une réelle bombe, non empreinte de défauts mineurs, mais brillamment mise en scène.




REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)