Résumé : New York, 1933. Ann Darrow est une artiste de music-hall dont la carrière a été brisée net par la Dépression. Se retrouvant sans emploi ni ressources, la jeune femme rencontre l'audacieux explorateur-réalisateur Carl Denham et se laisse entraîner par lui dans la plus périlleuse des aventures... Ce dernier a dérobé à ses producteurs le négatif de son film inachevé. Il n'a que quelques heures pour trouver une nouvelle star et l'embarquer pour Singapour avec son scénariste, Jack Driscoll, et une équipe réduite. Objectif avoué : achever sous ces cieux lointains son génial film d'action. Mais Denham nourrit en secret une autre ambition, bien plus folle : être le premier homme à explorer la mystérieuse Skull Island et à en ramener des images. Sur cette île de légende, Denham sait que "quelque chose" l'attend, qui changera à jamais le cours de sa vie...
Mon Avis : En 1933 sortait le plus grand film de monstre que le cinéma aie connu: King Kong. En 2005, sort KING KONG version Peter Jackson. A l'origine annoncé pour 1998, celui-ci est annulé. Et on peut remercier Universal d'avoir revu ses plans, car sinon nous n'aurions peut-être jamais put poser nos yeux sur cette incroyable aventure. Alors, passons au film. L'histoire? Elle reste assez fidèle à l'original. une New York incroyable, nouvelle, qui ne cesse de s'agrandir, d'évoluer. Elle est en pleine croissance. Des grêves, des voitures, des grandes constructions, des rues bourrées de passants, tout y est. P. Jackson nous montre alors un impressionnant aperçut des effets spéciaux du film, dont l'avis positif sera renforcé tout du long. Puis viennent les acteurs. Jack Black est impressionnant dans son rôle de réalisateur fauché mais imprévisible, Naomi Watt prouve que sa sensibilité peut nous toucher, et le reste des interprêtes est assez réussi.
Encore un très bon point. Mais la mention revient tout de même à Kong lui-même. Entièrement fait numériquement, dont les mimiques et mouvements ont été retranscrits de l'acteur Andy Serkis (qui a aussi joué Gollum dans la trilogie du Seigneur des Anneaux) il arrive à nous faire pleurer, ou ne serait-ce que d'avoir de la pitié pour ce pauvre animal, puissant mais seul, à la recherche de son opposé. Un monstre que la nature craint. Il vit seul, reclu dans sa montagne, il viellit dans la tristesse, et malgré ses innombrables combats, reste terriblement fragile. Et c'est une femme qui réussira à le faire tomber. De l'action magnifique, des émotions inconcevables que l'on renie, tout cela en 2H30, c'est trop court.Ce film, ou plutôt ce chef d'oeuvre, nous montre une fois de plus que l'homme est le vrai monstre de l'histoire. La bête vu la belle, la belle arrêta son geste. Dès lors la bête fut comme morte. Nous, on en pleure, ou crie de joie, devant ce film incroyable.
Encore un très bon point. Mais la mention revient tout de même à Kong lui-même. Entièrement fait numériquement, dont les mimiques et mouvements ont été retranscrits de l'acteur Andy Serkis (qui a aussi joué Gollum dans la trilogie du Seigneur des Anneaux) il arrive à nous faire pleurer, ou ne serait-ce que d'avoir de la pitié pour ce pauvre animal, puissant mais seul, à la recherche de son opposé. Un monstre que la nature craint. Il vit seul, reclu dans sa montagne, il viellit dans la tristesse, et malgré ses innombrables combats, reste terriblement fragile. Et c'est une femme qui réussira à le faire tomber. De l'action magnifique, des émotions inconcevables que l'on renie, tout cela en 2H30, c'est trop court.Ce film, ou plutôt ce chef d'oeuvre, nous montre une fois de plus que l'homme est le vrai monstre de l'histoire. La bête vu la belle, la belle arrêta son geste. Dès lors la bête fut comme morte. Nous, on en pleure, ou crie de joie, devant ce film incroyable.