Nombre total de pages vues

I SUGGEST ⚆ ⚆ ⚇ ...


アーカイブ ⚆ Archives

mercredi 10 mai 2006

058 ◆ A BITTERSWEET LIFE 달콤한 인생 de KIM Jee-Woon ★★★★★




Résumé : Un chef de gang suspecte sa petite amie Hee Su d'avoir une liaison avec un autre homme. Il demande à son bras droit, Sun Woo, de suivre Hee Su et de l'éliminer s'il la surprend en galante compagnie.




Mon Avis : Tout le bien que je pensais du cinéma sud-coréen se confirme encore ici. Park Chan-wook qui avait loupé de peu la Palme d’or avec OLDBOY, Bong Joon-Ho et son MEMORIES OF MURDER qui n’avait rien à envier au SILENCE DES AGNEAUX et Kim Jee-Woon, déjà réalisateur de l’angoissant 2 SISTERS. Dans A BITTERSWEET LIFE Kim Jee-Woon nous livre un sacré  exercice de style qui deviendra culte au gré de ses innombrables visions et surtout, par son caractère onirique, plus insondable qu’elle n’y paraît au premier abord. Un film de mafieux comme je les aime en somme! 


mercredi 19 avril 2006

052 ◆ V FOR VENDETTA de James McTEIGUE ★★★★★




Résumé : Londres, au 21ème siècle, Evey Hammond (Nathalie Portman) ne veut rien oublier de l'homme qui lui sauva la vie et lui permit de dominer ses peurs les plus lointaines. Mais il fut un temps où elle n'aspirait qu'à l'anonymat pour échapper à une police secrète omnipotente. Comme tous ses concitoyens, trop vite soumis, elle acceptait que son pays ait perdu son âme et se soit donné en masse au tyran Sutler et à ses partisans. Une nuit, alors que deux "gardiens de l'ordre" s'apprêtaient à la violer dans une rue déserte, Evey vit surgir son libérateur. Et rien ne fut plus comme avant. Son apprentissage commença quelques semaines plus tard sous la tutelle de "V". Evey ne connaîtrait jamais son nom et son passé, ne verrait jamais son visage atrocement brûlé et défiguré, mais elle deviendrait à la fois son unique disciple, sa seule amie et le seul amour d'une vie sans amour...




Mon Avis : J'ai lu la BD et et connaissant les adaptations d'Alan Moore au grand ecran, je m'attendais à un film de mauvaise facture. Mais quelle ne fût pas ma surprise en le voyant. Comme dans la BD son adaptation cinématogrphique s'inscrit à son tour dans notre quotidien actuel et me fait craindre sur ce qui nous attend lorsque l'on voit les dérives liés à la bulle internet et cette nouvelle forme de communication privilégié par les médias. De la sécurité à la liberté, désinformer pour mieux contrôler, abêtir pour manipuler. Gandhi a dit "vous devez être le changement que vous souhaitez voir dans le monde", et bien V a eu le courage d'incarner ce changement et à pousser ses compatriotes à s'unir pour combattre le diktat en place, espérons que l'on ne fera pas de même dans un futur. Je m'imagine bien me balader avec un masque de Guy Faulkes si il faut s'unir à des voix comme caisse de résonnance. Georges Orwell, Aldous Huxley et d'autres nous ont à leur façon réveillés et ont inspiré les frères Wachowski afin de porter aujourd'hui devant nos yeux cette vision d'un avenir pas si lointain que çà. A lire la BD pour revisiter le film d'une autre manière.



mercredi 1 mars 2006

043 ◆ HOSTEL de Eli ROTH ☆




Résumé : Deux étudiants américains, Paxton et Josh, ont décidé de découvrir l'Europe avec un maximum d'aventures et de sensations fortes. Avec Oli, un Islandais qu'ils ont rencontré en chemin, ils se retrouvent dans une petite ville de Slovaquie dans ce qu'on leur a décrit comme le nirvana des vacances de débauche : une propriété très spéciale, pleine de filles aussi belles que faciles. Natalya et Svetlana sont effectivement très cools, un peu trop, même. Paxton et Josh vont vite se rendre compte qu'ils sont tombés dans un piège. Ce voyage-là va les conduire au bout de l'horreur. 




Mon Avis : Ce n'est pas parce que Tarantino en est le producteur que le film doit être super trash. Ce n'est pas parce qu'il existe un film aussi malsain que Saw qu'il faut l'égaliser pour autant. Reprenant à l'extrême les codes de l'horreur (étudiants, gore, sexe, alcool, drogue), Hostel se noie dans une boullie grand-guignolesque (scénario pitoyable, acteurs nullissimes, mauvaise mise en scène...). Alors que la saga Saw possède un certain "charme", Hostel se montre bien plus repoussant et mauvais, à tous les niveaux. Un film sans intérêt!


mercredi 25 janvier 2006

037 ◆ MUNICH de Steven SPIELBERG ★★★★★




Résumé : Dans la nuit du 5 septembre, un commando de l'organisation palestinienne Septembre Noir s'introduit dans le Village Olympique, force l'entrée du pavillon israélien, abat deux de ses occupants et prend en otages les neuf autres. 21 heures plus tard, tous seront morts, et 900 millions de téléspectateurs auront découvert en direct le nouveau visage du terrorisme. Après avoir refusé tout compromis avec les preneurs d'otages, le gouvernement de Golda Meir monte une opération de représailles sans précédent, baptisée "Colère de Dieu". Avner, un jeune agent du Mossad, prend la tête d'une équipe de quatre hommes, chargée de traquer à travers le monde onze représentants de Septembre Noir désignés comme responsables de l'attentat de Munich. Pour mener à bien cette mission ultrasecrète, les cinq hommes devront mener la mission dans la discrétion la plus totale.




Mon Avis : A croire que seuls ceux qui le meritent peuvent comprendre un film de Spielberg ces dernières années ! Le film ne raconte pas ce qui s'est passé pendant la prise d'otage mais ce qui a suivi. Et ce qui a suivi est basé sur un livre qui previens que les faits raconté sont sous reserve sur quelques points. Mais là n'est pas le probleme. Sans le 11/09 ( decidement present dans LA GUERRE DES MONDES, TERMINAL et donc MUNICH donc...) Spielberg n'aurait peut etre pas fait ce film. Le realisateur ne prend pas parti mais essaie de rester neutre et de laisser le spectateur trouver lui meme les reponses voire meme de chercher encore d'autres questions. Spielberg a eu le courage de se mettre dos à dos Israeliens et Palestiniens pour pousser à la réflexion! Noble cause! Quand au plan final sur les Twin Towers, seul quelques abruti ( dont les cahiers du cinema - veritable journal qui devrait servir de PQ ) en ont vu un plan "trop" symbolique. N'importe quoi! Au final, malgré quelques defauts commes les séquences très clichés en France et en Hollande, on appreciera la magnifique retranscription des 70', d'une brochette d'acteurs étonnant de réalisme, une photo et une musique impeccable comme d'habitude signé John Williams pour pas le nommé. MUNICH, un film d'espionnage et d'action hors norme. Une leçon de cinéma de la part de Spielberg qui n'a pas encore fini de nous étonner! 


mercredi 4 janvier 2006

034 ◆ LORD OF WAR de Andrew NICCOL ★★★★★




Résumé : Né en Ukraine avant l'effondrement du bloc soviétique, Yuri arrive aux Etats-Unis avec ses parents. Il se fait passer pour un émigrant juif... Audacieux et fin négociateur, il se fait une place dans le trafic d'armes. Les énormes sommes d'argent qu'il gagne lui permettent aussi de conquérir celle qui l'a toujours fasciné, la belle Ava. Parallèlement à cette vie de mari et de père idéal, Yuri devient l'un des plus gros vendeurs d'armes clandestins du monde. Utilisant ses relations à l'Est, il multiplie les coups toujours plus risqués, mais parvient chaque fois à échapper à Jack Valentine, l'agent d'Interpol qui le pourchasse. Des luxueux immeubles new-yorkais aux palais des dictateurs africains, Yuri joue de plus en plus gros. Convaincu de sa chance, il poursuit sa double vie explosive, jusqu'à ce que le destin et sa conscience le rattrapent...




Mon Avis : LORD OF WAR ce n'est pas seulement l'histoire d'un trafiquant d'arme c'est avant tout l'histoire d'un homme et de ses rapports avec la société et avec sa famille et ses mensonges. C'est l'histoire du monde tel qu'il est aujourd’hui et il s'y passe des choses que nous ignorons ou plutôt que les informations ignorent puisqu’on n’entend pas souvent parler du trafic d'arme à la télé, mais pourquoi? On nous livre une réponse dans le film ce sont les gouvernements des pays riches qui sont les plus gros trafiquant d'armes ans le monde. C'est surement pour cela qu’on n’entend jamais parler de ces problèmes chez nous. Le film raconte donc l'évolution de Yuri un homme Américain d'origine Européenne issue d'un milieu modeste. Sa famille possède un restaurant à New york ou il travail avec son frère, il faut donc croire qu'il n'a jamais fait d'étude. Yuri, à grandie dans un quartier ou les gens font souvent usages d'armes à feux. Puis un jour il lui vient une idée, il veut devenir marchand d'armes et il réussie à devenir le meilleur sans jamais avoir aucune expérience ni qualifications pour faire du business et il réussi à devenir riche. Il vend ses armes comme du petit pain. Yuri est un homme sans scrupule, il a un parfait sens de la répartie, il est intelligent, il connait parfaitement les règles et les lois qu'il retourne facilement à son avantage (il y a des moyens légaux d'exploiter les pays en voie de développement) il nourrie les conflits et entretiens des contacts avec les pires salauds de la planète sans jamais se sentir responsable. Comme il le fait remarquer dans le film il n'est qu'un vendeur d'arme ce n'est pas lui qui appuie sur la gâchette. Avec lui il entraine son frère, un homme beaucoup plus sensible que lui qui finie par sombrer petit à petit à cause de Yuri. En dehors de tout cela le film montre un autre point intéressant et nous montre comment une famille née par des mensonges se termine. Lord of war dresse un bilan terrible et réaliste sur le monde tel qu'il est. Des chiffres effrayants. Les trafiquants d'armes deviennent plus riches et plus puissant que des honnêtes entrepreneurs sans histoires qui ont passé toute leurs vies à faire des études. Le pire c'est que personne ne peut rien contre eux, ils sont protégés par les plus hautes autorités pour qui ils font de parfaits boucs émissaire. C'est l'immoralité qui paye pas la moralité ni la bonté. Un film intelligent très bien réalisé. Le générique du début est formidable et la dernière image du film est géniale. Le genre de film qui dénonce et nous fait comprendre ce qui se passe autour de nous. C'est trés bien réalisé, un scénario génial et des acteurs au top. Un film à voir absolument.



mercredi 28 décembre 2005

032 ◆ THE CONSTANT GARDENER de Fernando MEIRELLES ★★★★★




Résumé : Dans une région reculée du nord du Kenya, Tessa Quayle, une brillante avocate aussi militante que passionnée, est retrouvée sauvagement assassinée. Le médecin africain qui l'accompagnait est porté disparu, et tout porte à croire qu'il s'agit d'un crime passionnel. Sandy Woodrow, Sir Bernard Pellegrin et les autres membres du Haut commissariat britannique s'imaginent que l'époux de Tessa, leur discret et modeste collègue, Justin Quayle, ne cherchera pas à prendre l'affaire en main. C'est bien mal le connaître...




Mon Avis : Après les favelas de THE CITYOF GOD, le réalisateur brésilien Fernando Meirelles s'intèresse à l'industrie pharmaceutique qui teste ses médicaments sur les populations africaines! Avec THE CONSTANT GARDENER, adapté très fidèlement du best-seller de John Le Carré, il s'appuie sur l'assassinat d'un militaire au Kenya pour dénoncer l'exploitation de la misère africaine pour les Occidentaux. Il emprunte les voies du thriller pour dresser un réquisitoire contre la toute-puissance des lobbies pharmaceutiques et recourt à l'histoire d'amour, belle à mourir, pour rendre un hommage particulièrement émouvant à Yvette Pierpaoli, pasionaria de l'organisation humanitaire "Refugees International", tuée en 1999. Le tout forme un brûlot politique illuminé par deux acteurs en état de grâce à commencer par Ralph Fiennes, diplomate effacé, qui ne s'intèresse qu'à son jardin jusqu'à ce que la fougueuse Tessa vienne chambouler son quotidien! Tessa, c'est la magnifique Rachel Weisz et ses deux personnages sont fous amoureux. Elle, elle respecte son sérieux et son discernement, lui, respecte sa passion, son engagement et son idéalisme! Courageuse et intègre, Rachel Weisz remporte l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle! Et ce n'est que justice tant elle y est formidable, tout comme Fiennes, immense, qui aurait mérité également une statuette! Un thriller choc qui est aussi un grand film politique, une tragèdie palpitante sur les magouilles des multinationales! Bref, on a un thriller, une magnifique histoire d'amour à la dècouverte de soi et du monde, une polèmique, une critique de l'industrie pharmaceutique mais surtout on a un film extrêmement captivant ou Meirelles filme en toute libertè en laissant les choses arriver! Du coup c'est vivant, les gens surgissent dans le champ nets puis flous dans un mouvement permanent! De plus, la mise en scène et le montage sont d'une virtuosité exceptionnelle et libèrent l'histoire des habituelles limites du genre! Quant au final, poignant, d'une sensibilitè secouante, il ne peut laisser indiffèrent! Un très grand film...


dimanche 25 décembre 2005

STREAMING - UTILISATION D'UN DEBRIDEUR


Un petit mot : Quelque soit le site de streaming sur lequel vous surfez, Allostreaming, Streambac, Streamvie… Les films et séries que vous pouvez y trouver était en majorité hébergés chez Megavideo et çà n'a pas changé, c'est pareil pour tous les autres.

Passée une certaine limite de temps, 72 minutes (parfois moins) à visionner un long métrage, un message d’erreur s’affiche sur votre écran : 
“You have watched 72 minutes of video today. Please wait XX minutes or click here to enjoy unlimited use of Megavideo.” (”Vous avez regardé 72 minutes de vidéo aujourd’hui, attendez XX minutes pour voir la suite ou cliquez ici pour vous abonner au PREMIUM pour un visionnage illimité”).

Une frustration que l’on peut éviter en utilisant d’autres astuces que celle du «modem », les générateurs  de liens ou débrideurs. Ces sites permettent de multiplier votre vitesse sur les différents hébergeurs de films et d’éviter les files d’attentes. Mais surtout ils font sauter ce type de limite sur la plupart des hébergeurs de contenus en liens illégaux : Megavideo, Megashares, Easy-Shares, Veoh etc.

En tête de liste Illimtux.net était le débrideur numéro un mais depuis quelques temps le site souffre de problèmes techniques. D’autres générateurs de liens sont  disponibles sur le net. Certains sont payants comme Multi-Load, Real-Debrid ou Dédibox mais offrent une bande passante (vitesse de connection) importante.  Les autres, libres d’accès tels que Fast-ddl, Mega-debrid, Rapid8 ou Multi-dl ne sont pas de reste puisque les débits en téléchargement avoisinent les 300 ko/s, la lecture se fait sans accrocs.

Le fonctionnement des débrideurs est toujours le même :  vous devez coller le lien de votre vidéo  exemple http://www.megavideo.com/?v=C4FAFCDGp sur le générateur de liens et vous pouvez visionner film ou série sans limite de temps, le téléchargement est aussi simplifié puisque vous n’avez plus à entrer de code ou à patienter 45 secondes. Pratique pour ceux qui n’aimaient pas attendre sur Megaupload.

samedi 24 décembre 2005

031 ◆ GTO グレート・ティーチャー・オニヅカ GREAT TEACHER ONIZUKA VF ☻☻☻☻☻



Résumé : Un jeune enseignant de lycée, ancien voyou, se retrouve responsable d'une classe particulièrement difficile dont les élèves ne respectent plus aucun professeur. Parce qu'il parvient à les comprendre et à se mettre à leur niveau, il arrivera non seulement à leur tenir tête, mais aussi à les aider... 



Mon Avis : GREAT TEACHER ONIZUKA fait partie de cette vague d'animé qui me rend moins nostalgique de ceux que j'aimais voir dans années 90'. Le doublage en français est excellent! 

mercredi 14 décembre 2005

029 ◆ KING KONG de Peter JACKSON ★★★★★




Résumé : New York, 1933. Ann Darrow est une artiste de music-hall dont la carrière a été brisée net par la Dépression. Se retrouvant sans emploi ni ressources, la jeune femme rencontre l'audacieux explorateur-réalisateur Carl Denham et se laisse entraîner par lui dans la plus périlleuse des aventures... Ce dernier a dérobé à ses producteurs le négatif de son film inachevé. Il n'a que quelques heures pour trouver une nouvelle star et l'embarquer pour Singapour avec son scénariste, Jack Driscoll, et une équipe réduite. Objectif avoué : achever sous ces cieux lointains son génial film d'action. Mais Denham nourrit en secret une autre ambition, bien plus folle : être le premier homme à explorer la mystérieuse Skull Island et à en ramener des images. Sur cette île de légende, Denham sait que "quelque chose" l'attend, qui changera à jamais le cours de sa vie...




Mon Avis : En 1933 sortait le plus grand film de monstre que le cinéma aie connu: King Kong. En 2005, sort KING KONG version Peter Jackson. A l'origine annoncé pour 1998, celui-ci est annulé. Et on peut remercier Universal d'avoir revu ses plans, car sinon nous n'aurions peut-être jamais put poser nos yeux sur cette incroyable aventure. Alors, passons au film. L'histoire? Elle reste assez fidèle à l'original. une New York incroyable, nouvelle, qui ne cesse de s'agrandir, d'évoluer. Elle est en pleine croissance. Des grêves, des voitures, des grandes constructions, des rues bourrées de passants, tout y est. P. Jackson nous montre alors un impressionnant aperçut des effets spéciaux du film, dont l'avis positif sera renforcé tout du long. Puis viennent les acteurs. Jack Black est impressionnant dans son rôle de réalisateur fauché mais imprévisible, Naomi Watt prouve que sa sensibilité peut nous toucher, et le reste des interprêtes est assez réussi. 



Encore un très bon point. Mais la mention revient tout de même à Kong lui-même. Entièrement fait numériquement, dont les mimiques et mouvements ont été retranscrits de l'acteur Andy Serkis (qui a aussi joué Gollum dans la trilogie du Seigneur des Anneaux) il arrive à nous faire pleurer, ou ne serait-ce que d'avoir de la pitié pour ce pauvre animal, puissant mais seul, à la recherche de son opposé. Un monstre que la nature craint. Il vit seul, reclu dans sa montagne, il viellit dans la tristesse, et malgré ses innombrables combats, reste terriblement fragile. Et c'est une femme qui réussira à le faire tomber. De l'action magnifique, des émotions inconcevables que l'on renie, tout cela en 2H30, c'est trop court.Ce film, ou plutôt ce chef d'oeuvre, nous montre une fois de plus que l'homme est le vrai monstre de l'histoire. La bête vu la belle, la belle arrêta son geste. Dès lors la bête fut comme morte. Nous, on en pleure, ou crie de joie, devant ce film incroyable.




REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)